La saga judiciaire impliquant l’activiste rouge, Nandanee Soornack, n’est pas finie ! Si le juge Eddy Balancy a rendu son verdict concernant l’ordre intérimaire émis par le juge Bushan Domah, en levant le gagging order sur la vie privée de Nandanee Soornack, le main case engagé par la businesswoman est toujours devant la Cour. Cette dernière a demandé, le 17 janvier, un ordre interdisant à deux groupes de presse, La Sentinelle et Le Mauricien, de publier des articles ayant trait à sa vie privée. Pourquoi ?
Tout simplement parce que l’ordre intérimaire était une mesure temporaire. Pour un ordre permanent, un main case est nécessaire. Cette affaire, entendue le jeudi 7 février, a été renvoyée au 19 mars.
Le juge Eddy Balancy a, lui, annulé l’ordre temporaire. Il a néanmoins émis un ordre interlocutoire interdisant à ces deux groupes de presse de publier des informations concernant l’enfant mineure de Nandanee Soornack.