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La Sentinelle repart en guerre contre l’État

Recettes publicitaires.jpg

Montant moyen de recettes publicitaires

La discrimination a assez duré. C’est en cour, une nouvelle fois, que la Sentinelle réclamera la fin du boycott publicitaire de l’État envers ses titres. L’affaire sera entendue le 6 juin. Dans un nouveau procès intenté contre le ministre de la Justice, représentant de l’État, La Sentinelle réclame Rs 14 666 666
(Rs 2 millions par mois depuis le 6 septembre 2012, plus Rs 2 millions par mois à partir du 18 avril 2013 jusqu’à la date du jugement, ainsi que les intérêts au taux du jour). La raison principale invoquée : l’État ne respecte pas son accord signé le 6 août 2012. Dans lequel accord, il reconnaissait pourtant le droit de La Sentinelle à une legitimate expectation», soit un «fair share» de la publicité gouvernementale sur une base régulière.

Or, nous dit Nad Sivaramen, le directeur des publications de La Sentinelle, «cet accord qui a pourtant valeur de jugement devant la Cour suprême n’a pas été respecté. Le boycott perdure malgré plusieurs de nos tentatives de rappeler à l’Attorney General sa promesse. Il n’y a donc aucun autre recours sauf un nouveau procès». Celui-ci rappelle que ce boycott publicitaire a obligé le groupe à se séparer «de beaucoup de nos employés», mais plus grave encore, ces manœuvres politiques touchent à la liberté d’expression. «On ne devrait pas s’étonner que Maurice chute dans les indices internationaux», ajoute le directeur des publications qui estime que les recommandations de Geoffrey Robertson ne sont pas compatibles avec le boycott de La Sentinelle.

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