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«La liberté de la presse n’est pas absolue»

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«La mission du bureau de l’Ombudsman
est de s’assurer que les membres du public puissent rapporter des manquements à la presse ou à des magazines»

Dans le cadre d’un «journalism workshop» organisé par l’unesco et l’Université de Maurice, le Deputy Press Ombudsman de Print Media South Africa était à Maurice pour animer deux ateliers autour du thème «Ethical journalism».

Qu’est-ce que l’éthique journalistique ?

Cela concerne tous les journalistes. L’éthique journalistique  commence et se termine par la recherche de la vérité, en évitant de causer des dommages inutiles et en ne permettant pas que des influences externes interfèrent. La motivation d’un journaliste doit être celle de servir l’intérêt public avant tout.

Quel est le rôle d’un Ombudsman dans la presse ?

La mission du bureau de l’Ombudsman est de s’assurer que les membres du public puissent rapporter des manquements à la presse ou à des magazines. Les plaintes sont traitées de façon impartiale et objective. Si les informations publiées se révèlent fausses, nous veillons à ce que l’erreur soit rectifiée et que des excuses soient présentées pour réparer les torts qui ont été causés.

Pourquoi des règles pour régir les médias ?

La liberté de la presse n’est pas absolue. Il faut des guidelines car les journalistes peuvent parfois blesser certaines personnes. Et les règles sont imposées pour que les limites ne soient pas franchies. Un journaliste doit toujours se mettre à la place du sujet de son article et penser aux conséquences de l’information qu’il compte publier.

Comment fonctionnez-vous en Afrique du Sud ?

Nous nous sommes rendu compte que les choses se passent très bien depuis que le bureau opère et qu’il y a un code qui régit les médias. Nous sommes en train de revoir notre façon d’opérer. On travaille là-dessus depuis deux ans et le changement entrera en vigueur en janvier 2013. Si Maurice a besoin de l’expertise sud-africaine, on est prêt à aider.

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