• Il a été libéré sous caution après huit mois de détention préventive - Vishal Shibchurn : «Mo ena ankor bokou revelasion pour fer»
  • Le nouveau cabinet ministériel à la loupe - Kris Valaydon, observateur politique : «Le chantier est vaste pour le nouveau gouvernement...»
  • Des Junior Ministers «motivés»
  • Moi, ministre pour la première fois, je vais…
  • Au feu, les pompiers… sont enfin là !
  • Mare-Chicose en feu : le calvaire des villageois au bord de l'étouffement
  • 1ers Championnats d’Afrique d’air badminton : Maurice s’offre le bronze en équipe
  • Ruqayah B. Khayrattee met la femme en avant
  • Huawei Watch GT 5 Pro : du premium autour du poignet
  • Donald Trump, sa mission pour «sauver l’Amérique» et les «incertitudes»

Mauritian DJ in New York

Arena.jpg

Après les USA, il ira conquérir l’Inde et l’Europe !

En voilà un qui semble être né sous une bonne étoile. Rencontre avec Deepak Seeruttun, plus connu sous le nom de DJ Dee Arena. Un gars qui s’est fait petit à petit (il est aux platines depuis début 2000) et que l’on a pu voir à l’œuvre récemment notamment lors de nombreux Divali Bashes et des Red Parties Anthem. Actuellement, la chance lui sourit, puisque l’un de ses CD, intitulé Hot and Spicy 4, est en vente sur le site Remixblend.com, destiné au marché essentiellement… new-yorkais !

Pas mal pour ce jeune homme qui a fait ses premières armes à Nouvelle-France, et qui est passé par les cases habituelles (soirées, mais aussi mixage dans des radios) avant de se mettre à la production et à la création. Son premier CD, Hidden Treasure, est sorti en 2012.

Mais son histoire avec la musique a commencé bien avant : «Je suis dans la musique depuis l’âge de 7 ans environ. Je me rappelle que j’avais acheté ma première cassette en 1993, et que j’ai commencé à suivre le Top 50 sur la MBC 1 quelques années plus tard. Mais je crois que j’ai tout appris de mon frère. C’est lui qui a commencé à acheter des CD vers 1998, m’a fait découvrir les remix et tout, et m’a donné envie de faire du deejaying, puisqu’il était aussi DJ. Lorsqu’il a arrêté, moi j’ai continué vu que mon amour pour la musique était très fort, et que j’adorais mettre de l’ambiance dans des soirées», confie ce technicien en électrique de profession.

Et malgré les difficultés du métier («aujourd’hui avec des logiciels, tout le monde se croit DJ, alors que c’est tout un art», dit-il), le jeune homme, qui se fait appeler The leading light of Bollywood remixes, ne désespère pas. Et il nous avoue que parmi ses nouvelles conquêtes, il faudra aussi compter sur l’Inde. L’aventure de Dee Arena continue…

Archive: