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Une jeune recrue au cœur de la GIPM

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Le constable est fier de faire partie de l’élite de la force policière.

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Les policiers au sein de cette cellule ont participé à des opérations de simulation pendant trois jours.

Un rêve d’enfance devenu réalité. Depuis tout petit, Gowtam Seebaccus, 24 ans, désire ardemment faire partie de la force policière. Il y a deux ans, il a atteint son objectif en intégrant la Special Mobile Force (SMF). Aujourd’hui, le jeune fait partie du Groupe d’intervention de la police mauricienne (GIPM) où il continue à servir au mieux le pays.

Mardi, mercredi, jeudi Gowtam a participé pleinement à des exercices de simulations avec ses collègues de l’unité d’élite. Ils devaient notamment faire une opération de sauvetage après un kidnapping, sauver quelqu’un de la noyade et débarrasser une île de terroristes. Pour le jeune homme, c’est une expérience «très enrichissante».

Pour être un bon policier il faut aussi, selon lui, être disponible à n’importe quel moment pour sauver des vies et protéger le pays. Il se rappelle particulièrement sa première opération de sauvetage en avril dernier durant laquelle sept personnes en difficulté à Sept Cascades ont été secourues : «C’est un moment que je n’oublierai jamais. J’ai contribué à sauver des vies ce soir-là avec d’autres membres du GIPM.»

Le jeune habitant de Tranquebar souhaite continuer à évoluer dans cette unité qu’il a rejointe il y a deux mois et qui est, pour lui, comme une famille où chacun se serre les coudes : «Je veux continuer à progresser et j’ai la chance d’être entouré de gens qualifiés qui me guident afin que je donne le meilleur de moi-même.»

Une unité d’élite prête à intervenir

Le GIPM, une branche de la SMF, existe depuis 1979. Un certain nombre de policiers affectés à celle-ci sont sélectionnés pour être membres de cette unité d’élite de la force policière. «Nous sommes là pour intervenir lors d’opérations délicates telles que les sauvetages, l’escorte des VIP ou même des dangereux criminels. À ce jour, toutes nos sorties ont connu 100 % de réussite», déclare l’assistant surintendant de police Budhoo, en charge de cette unité. Avant toute opération, les membres du GIPM doivent obligatoirement avoir l’aval du commandant de la SMF.

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