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Samuel Sagor

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À ses débuts, il est apparu dans la rubrique «À la mode de…» Aujourd’hui, Samuel Sagor gère son propre business de «Personal Training» – New Generation Sport Ltd –, ce qui l’amène à préparer des athlètes de niveau national pour le sprint et les particuliers «haut de gamme». «Les directeurs de compagnie, entre autres, n’ont pas le temps de faire du sport seul. Je suis là pour eux», explique le jeune homme. Ses passions sont la mode et le mannequinat.

Qu’est-ce que ça représente, pour vous, de travailler dans le monde de la mode ?

C’est avant tout la découverte et l’énergie qui se dégage car ce n’est pas du tout ce que beaucoup pensent. Pour moi, c’est un art. Le mannequin n’est pas seulement un portemanteau, c’est une créature pure. Il sert à valoriser les créations de divers artistes. Pour moi, le mannequinat, c’est sacré.

Avez-vous toujours évolué dans ce monde ? Pourquoi avoir choisi de le faire ?

À la base, je suis athlète au niveau national, pour les épreuves du 400 m et du 800 m. Mais, en 2005, après les études en France, je suis allé plus vers le fitness. Ce qui m’a permis d’améliorer mes performances sportives et d’avoir un corps de mannequin. La cerise sur le gâteau, c’est le petit métissage ! En plus, je suis à l’aise devant la caméra et sur le podium. Je m’éclate et ça se voit. Chantal Koenig, directrice de One Model, a été mon guide.

D’où tenez-vous votre flair pour le choix de vos vêtements ?

J’ai été élevé par mes grands-parents et je suis devenu «à manie», pour ne pas dire perfectionniste. Les séances de relooking dont j’ai bénéficié et le fait de côtoyer de grands couturiers m’ont aidé à développer un style bien à moi ; je personnalise moi-même mes vêtements.

Quel est votre style... pour le boulot ?

Je suis plutôt casual smart. Pour le boulot, c’est genre «prof de gym» : short trois-quarts, polo et lunettes de soleil.

Et celui pour les sorties ?

Chaussures classiques bien pointues, une chemise choisie par rapport à l’ambiance

de l’événement.

Quel est votre vêtement ou accessoire préféré ? Votre péché mignon, quoi.

Mes lunettes de soleil

et ma montre.

Pourquoi c’est si spécial ?

Je ne peux pas m’en passer.

Avez-vous des marques préférées ? Lesquelles ?

Marque sportive : encore et toujours Nike ! J’aime aussi porter du Billabong ou du Celio. En ce moment, c’est plus du Celio.

Certains disent qu’un homme qui prend soin de son physique perd de sa virilité. Partagez-vous ce point de vue ?

L’homme «métrosexuel» ne perd surtout pas de sa virilité. Demandez à celles qui me côtoient. Ou plutôt, demandez à Victoria Beckham si David a perdu de sa virilité…

Quel est votre meilleur souvenir mode ?

La nuit de la mode, en 2007, et aussi quand j’ai porté des vêtements de Manish Malhotra. C’était wow !

Quels sont vos projets mode ?

J’ai des rêves et des projets, dont celui d’ouvrir ma propre agence de mannequin – mais j’ai trop de boulot pour me pencher sur la question et lancer ma propre ligne de vêtements. J’y travaille depuis des années, mais avec mon côté perfectionniste…

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