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Miss Environnement International : Annejelly Boncoeur et Sandra Jolicoeur, un duo de choc

19 avril 2022

Annejelly et Sandra sont heureuses de cette expérience.

Présentez-vous à nos lecteurs…

 

Annejelly Boncoeur : «J’ai 26 ans et j’habite à Trou-aux-Biches. Je travaille actuellement en tant qu’assistante de communication et marketing chez Europestone Management, une agence de communication.»

 

Sandra Jolicoeur : «J’ai 20 ans et j’habite à Camp-du-Roi, Rodrigues. Je suis encore étudiante. Ma plus grande passion, c’est la danse, spécialement les styles africain, afro et R’n’B. J’aime le monde de la mode depuis toute petite et mon temps libre, je le passe avec ma famille ou à la plage mais aussi à faire des randonnées.»

 

Comment avez-vous vécu cette expérience à l’internationale ?

 

Annejelly Boncoeur : «Ce fut une belle expérience, même si ce fut intense au niveau du planning avec le training et très peu d’heures de sommeil. Mais ce sont aussi les découvertes culinaires et les rencontres avec des filles venant des quatre coins du monde, qui ont rendu l’expérience encore plus belle.»

 

Sandra Jolicoeur : «Pour ma première expérience de concours de beauté à un niveau international, je suis extrêmement fière de mon parcours. Ce fut une expérience rythmée par un tourbillon d’émotions à différentes étapes de la compétition. Mais le fait d’avoir entendu l’île Rodrigues être citée haut et fort pour le prix, ce fut une joie inexplicable. Je remercie ma couturière, Jennyfer Garrick Pauvaday de MJ Couture, qui a fait un excellent travail en peu de temps, ma directrice nationale Brayoni Cerveaux qui m’a bien soutenue et l’organisation de Miss Environnement sans qui cette expérience n’aurait pas existé.»

 

Un moment inoubliable de votre aventure en Inde…

 

Annejelly Boncoeur : «C’est à l’aéroport (fou rire). Une fois à Mumbai, on devait prendre un autre vol pour Goa. Mais sur place, nous avons appris que les billets n’étaient pas encore réservés. Du coup, nous avons dû prendre un taxi de Mumbai à Goa pour être sûres d’arriver à temps. Nous avons passé 16 heures environ ou peut-être plus dans un taxi. Ce n’est pas le meilleur des souvenirs mais il est inoubliable.»

 

Sandra Jolicoeur : «Comme Annejelly, c’est le voyage en taxi. 16 heures de taxi sans manger ! Et à peine arrivées à destination, nous étions déjà en plein dans la compétition.»

 

Votre plus belle rencontre dans la Grande Péninsule…

 

Annejelly Boncoeur : «La Miss Grèce. Elle ne parlait pas beaucoup l’anglais mais on communiquait par Google Translate. C’est fou quand on y pense ! Pour elle, la barrière de la langue n’était pas un obstacle. Nous communiquions même par des gestes. Mais la vraie plus belle rencontre, c’est d’avoir fait la connaissance des Miss de l’océan Indien ; Elsia Françoise des Seychelles, Alexe Poudroux de La Réunion et Sandra Jolicoeur de Rodrigues.»

 

Sandra Jolicoeur : «Toutes les Miss furent de belles rencontres. Les coachs aussi étaient géniaux et toujours aux petits soins. Ils nous motivaient constamment. Mais j’étais plus proche de la vice-présidente de l’organisation Cassandra Joseph et du manager, Dr Pam Kahwji. Ce sont mes deux coups de cœur de cette aventure.»

 

Votre projet en tant que Miss Environnement 2022 ?

 

Annejelly Boncoeur : «Mon projet s’intitule Protez nou lakaz et est divisé en trois volets principaux, à savoir des panneaux d’information et des visuels encourageant la protection de l’environnement, des campagnes de nettoyage des plages et la fourniture de produits de première nécessité respectueux de l’environnement comme les poubelles. Sensibiliser, informer mais aussi faire participer les personnes sont les buts de ce projet. La mise en place peut être un tournant dans le comportement des consommateurs vers de meilleures pratiques eco-friendly.»

 

Sandra Jolicoeur : «La conservation des plages, qui se fera en organisant des cleanups, promouvoir le volontariat chez les jeunes et, pourquoi pas, créer de l’emploi avec le recyclage.»

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