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Jurassic World : Rebirth 

Scarlett Johansson contre les dinos

28 juin 2025

Revoilà le T-Rex et autres raptors pour le grand retour de la franchise remplie de reptiles préhistoriques, en plus avec des acteurs très populaires !

Encore un prétexte pour aller embêter ces pauvres dinosaures ! Dans Jurassic World : Rebirth, cinq ans se sont écoulés depuis le dernier film. Pas de Chris Pratt à moto cette fois, mais une expédition qui part à la recherche d’un remède qui se trouve dans l’ADN de certains dinos. Ces derniers vivent maintenant dans des endroits reclus, car ne pouvant cohabiter avec l’humanité. L’aventure recommence pour nos pauvres humains qui vont peut-être se faire croquer encore !

Les studios Universal essaient en tout cas de sauver un peu cette franchise dinosaure qui reste populaire mais qui montrait des signes d’essoufflement avec des derniers films plutôt inégaux, mais qui arrivaient à rapporter. D’où ce nouveau volet qui est le quatrième film de la partie Jurassic World et le septième film de tout l’univers qui a débuté en 1993 avec l’incontournable Jurassic Park de Steven Spielberg. Les studios ont voulu mettre toutes les chances de leur côté ;il y a un joli casting – Scarlett Johansson et Mahershala Ali, entre autres – et à la réalisation, on retrouve un habitué des monstres, Gareth Edwards, que l’on connaît pour le reboot de Godzilla, le film indépendant Monsters ou encore Rogue One : A Star Wars story.

À l’écran, on devrait en avoir pour notre argent, avec tout plein de dinos connus, sur la terre, dans les airs, sous l’eau... Et on devrait même avoir encore un super dino génétiquement modifié tout laid et tout terrifiant avec une grosse tête. On verra donc si la folie dinosaure va revenir…

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«F1» : Brad Pitt sur le bitume

Il était une fois une légende. Sonny Hayes était l’un des plus grands pilotes de F1 dans les années 90. Puis, tout a basculé lorsqu’il a eu son terrible accident. Trente ans plus tard, le voici qui est contacté pour sauver une écurie et prouver à tous qu’il en a toujours dans le ventre. Pourra-t-il y arriver ? Pourra-t-il aussi se mesurer aux plus jeunes pilotes ? Et gérer le jeune coéquipier qui est à ses côtés ? Sacré programme en tout cas avec ce film automobile qui sent bon d’autres long-métrages du genre comme Rush avec Chris Hemsworth et, plus loin dans le passé, Jours de Tonnerre avec Tom Cruise.

Justement, c’est un talentueux réalisateur qui a déjà dirigé Tom Cruise (Joseph Kosinski, à qui l’on doit Oblivion et, surtout, le succès Top Gun : Maverick) qui est aux commandes de ce blockbuster à 300 millions de dollars (dont 30 apparemment rien que pour le salaire de Brad Pitt). En tout cas, on est bien servis niveau casting (on a ce cher Brad vieillissant mais ayant toujours la pêche, mais aussi Javier Bardem et le jeune Damron Idris) et aussi niveau spectacle, le réalisateur quittant les airs pour nous proposer des courses de F1 avec les mêmes techniques que Top Gun : Maverick pour une immersion totale, surtout sur grand écran. C’est vous dire qu’on tient là un blockbuster automobile qui mérite d’être vu sur le plus grand écran possible, et aucun doute que les fans de Pitt et surtout de Formule 1 seront aux anges avec ce long-métrage qui nous place au cœur du cockpit, en plus avec un bel acteur….

«M3GAN 2.0» : petit robot tueur, deuxième  

Elle avait fait un bain de sang pas possible dans le premier volet. Et voilà que M3Gan, la fille-robot qui avait une intelligence artificielle tellement évoluée qu'elle arrivait à danser et aussi à tuer, est de retour. Dans cette suite, on a volé le blueprint de l’IA pour en faire une arme, un robot du nom d’AM3LIA que rien ne semble arrêter. Alors que l’humanité court carrément à sa perte, la question que la créatrice de M3Gan se pose est : faut-il la réactiver pour qu’elle sauve le monde ?

Tout un programme dans le deuxième volet de ce film de science-fiction qui est devenue plutôt populaire au fil du temps. Alors que le premier M3Gan flirtait plus avec les codes du film d’horreur, ce deuxième film propose une approche encore plus sci-fi, avec parfois un côté film d’action à la Terminator qui fait un peu sourciller. C’est un peu n’importe quoi, mais ceux qui cherchent un film de ce genre qui ne se prend pas au sérieux, ou qui ont adoré le premier film, peuvent se laisser tenter…

«Le grand déplacement» : les Africains ont leur mission spatiale

Tout s’est préparé dans le plus grand secret. Et le jour Jest enfin arrivé. On parle ici de la première mission spatiale africaine : l’équipage vise la planète Nardal, qui serait le refuge des Africains si la terre devenait inhabitable. La mission s’avère longue et périlleuse. En même temps, les membres de l’équipage ont un peu de soucis à s’entendre…Réalisation du rigolo Jean-Pascal Zadi (qui occupe aussi ici le premier rôle après ses African Gangster et Tout simplement noir), Le Grand Déplacement mélange un peu tout :l’écologie, les vannes sur les préjugés sur l’Afrique et, bien sûr, le film de science-fiction. C’est marrant, parfois inégal aussi. Si vous aimez les petites comédies françaises divertissantes et légères…

«13 jours, 13 nuits» : sauvons les réfugiés

Nous sommes en août 2021. Les choses vont mal en Afghanistan ; c’est le chaos, entre les troupes américaines qui vont quitter le territoire et les Talibans qui vont bientôt s’emparer du pouvoir. Voici que des milliers d’Afghans tentent de se réfugier à l’ambassade de France, l’un des lieux encore protégés dans le coin. Le commandant Mohamed et ses hommes auront fort à faire. Mais dans tout ce désordre, l’organisation d’un convoi de la dernière chance va se faire…

Inspirée d’une histoire vraie très forte, ce 13 jours, 13 nuits, réalisation de Martin Bourboulon, qui avait eu beaucoup de succès avec le récent Les Trois Mousquetaires, nous propose ici un récit tout en intensité, tambour battant, porté par la mine fatiguée de Roschdy Zem et la présence féminine de Lyna Khoudri. De quoi vivre un récit qui ne risque pas d’épargner le spectateur avec une histoire incroyable qui mérite d’être connue.

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