Une jeune femme dénonce son époux pour abus sexuels et tortures 

Son époux lui aurait fait subir des supplices pendant plusieurs années. Le poids de la souffrance commençait à devenir trop lourd pour cette jeune femme de 32 ans. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase est une énième agression sexuelle. C’est la raison pour laquelle elle a décidé de briser le silence en portant plainte à la police le 5 mars. Dans sa déposition, cette Account Officer a fait de graves accusations contre son époux qui travaille comme Security Guard. 

La jeune femme explique qu’elle est mariée religieusement depuis 2011. Son époux et elle ont un fils de 9 ans. Elle souligne qu’elle a déserté le toit conjugal le 13 février dernier pour trouver refuge chez son père. Elle précise qu’elle ne voulait plus subir les disputes conjugales ainsi que les atrocités sexuelles et les tortures mentales de son époux. Elle allègue que ce dernier l’aurait sodomisée pour la première fois six mois après leur mariage.

Elle affirme que son époux avait pour habitude de l’agresser sexuellement. Elle confie que ce dernier lui faisait subir les pires sévices. Il lui faisait, entre autres, porter les mêmes sous-vêtements sexy avant d’abuser d’elle. Selon ses dires toujours, son époux, âgé de 39 ans, lui faisait aussi faire du strip-tease contre son gré. Quand elle refusait de participer à son jeu malsain, il la menaçait à chaque fois de révéler ce qui s’était produit entre eux avant leur mariage.

Elle affirme qu’elle était torturée moralement. Selon ses dires toujours, son époux était toujours sous l’influence de drogues lorsqu’il avait des relations sexuelles forcées avec elle. Dans sa déposition, elle soutient que sa dernière agression sexuelle aurait eu lieu à la mi-janvier. Elle allègue aussi que son époux l’aurait amenée à s’habituer à ce style d’activités sexuelles en la forçant à prendre des pilules à chaque fois. 

La jeune femme n’a pu produire ses vêtements ainsi que les draps de son lit pour les besoins de l’enquête. Elle affirme qu’ils ont déjà été lavés. La police a procédé à l’arrestation du Security Guard, le jeudi 6 mars au lendemain de la plainte de son épouse. Il fait l’objet d’une charge provisoire de sodomie. La police a objecté à sa remise en liberté sous caution. L’enquête policière se poursuit.