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24 novembre 2014 16:20
● Denis Serret, bassiste
«Je l’ai connu il y a plus de dix ans. C’est un homme qui a beaucoup aidé les jeunes. Personnellement, il m’a beaucoup encouragé à poursuivre ma carrière musicale.»
● Yannick Manerou, guitariste
«On s’est connus alors que j’étais encore enfant. J’ai voyagé grâce à la musique, grâce à lui. Aujourd’hui, je vis de la musique et je vais tout faire pour poursuivre son combat.»
● Philippe Thomas, ancien membre du Big Band d’Ernest Wiehe
«Il n’avait pas changé depuis notre première rencontre, en 2000. On a joué ensemble à Maurice, mais aussi à l’étranger. C’était quelqu’un de formidable.»
● Eric Triton, musicien
«Il s’est beaucoup investi dans la musique et a appris à beaucoup de jeunes à jouer d’un instrument. Il a accompli sa mission haut la main et j’espère que les jeunes suivront son exemple.»
● Gopallen Chellapermal, parent d’élève
«J’ai réalisé avec lui un documentaire sur l’Atelier Mo’Zart. On s’est rencontrés il y a neuf ans. Shaad, mon fils, suivait des cours à l’Atelier. José jouait parfois pieds nus ; il se nourrissait de la terre. Il nous a enseigné la musique, mais aussi la vie.»
● Neshen Teerovengadum, guitariste
«Je le connais depuis plus de 25 ans. En 1998, il a fait appel à moi pour un concert au Festival de jazz des Seychelles. Sa joie de vivre et sa motivation marqueront à jamais.»
● Cyril Michel, organisateur de l’Ernest Wiehe Jazz Festival
«José était un leader charismatique et il se donnait à fond dans le social. À travers le jazz, il a donné un moyen aux jeunes issus de quartiers défavorisés de s’en sortir.»
● Marsel Poinen, ami de José Thérèse
«J’ai toujours cru en ses projets, depuis le lancement de l’Atelier Mo’zart. J’espère que son œuvre va se perpétuer à travers ses élèves et collaborateurs.»
● Herman Pierre Louis, guitariste
«Je suis malvoyant, mais il a cru en moi. ‘‘Dan lamizik to bizin soufer’’, disait-il, surtout à Maurice. J’admire les sacrifices qu’il a fait pour aider les jeunes à sortir de la misère.»
● Ivan St Martin, musicien
«Mon père était un bon ami de José. De Pointe-aux-Piments à Roche-Bois, je faisais des allers-retours pour approfondir mes connaissances artistiques. Je garde le souvenir de quelqu’un de perfectionniste.»
● Dan Christophe, trompettiste
«Mon fils Jazzy, 12 ans, vient de commencer à apprendre à jouer du saxophone. Grâce à José, il a joué dans Tikoulou et le Souffle Magique. Ce que je retiens de José, c’est sa patience et son dévouement pour les jeunes.»
● Mattieu Carosin, batteur
«J’ai débuté à l’Atelier à l’âge de 15 ans. C’est grâce à lui que la musique est aujourd’hui devenue mon métier. Il y a quatre ans, j’ai lancé une école de batterie avec son aide.»
● Kersley Pytambar, contrebassiste
«Il a tout fait pour que je m’épanouisse dans la musique. C’était quelqu’un de généreux, qui a laissé son empreinte dans ma carrière musicale. L’Atelier Mo’Zart est un tremplin pour l’épanouissement.»
● Nadia Laurent, ancienne élève de l’Atelier Mo’Zart
«Il nous encourageait à faire nos preuves. Sans lui, je n’aurais pas pu intégrer le conservatoire François-Mitterrand. Mon plus beau souvenir de lui, c’est quand il a joué à mon mariage, il y a près de trois ans.»
● Yann Durhone, musicien
«José était très sensible, mais il ne le montrait pas. L’Atelier Mo’Zart était, pour moi, l’école de la vie, un endroit où certains ont appris à regagner confiance en eux.»
● Nadiane Armance, élève de l’Atelier Mo’Zart
«Je me souviens de notre première rencontre. J’étais venue avec ma guitare. Il m’a lancé ‘‘Met sa laba to ena enn lagel kontrebas ek twa.’’ Aujourd’hui, je suis la première femme à jouer de cet instrument sur du jazz à Maurice.»
Sabine Azémia & Jean Marie Gangaram
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