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14 décembre 2022 00:07
Grand, grand spectacle
C’est clair qu’on a probablement là LE blockbuster de cette année. Il semble que le réalisateur James Cameron ait voulu à nouveau nous montrer qu’il existe encore des films faits pour être vus sur le plus grand écran possible. Et les images des nombreuses bandes-annonces semblent le confirmer : on va avoir droit à un voyage sous l’eau, sur l’eau, dans les airs, avec un sens du spectacle encore plus fort que le premier volet.
Usage de la 3D
Si pour la sortie du premier Avatar en 2009 (devenu depuis l’un des films les plus rentables de l’Histoire) nous n’étions pas encore équipés avec la technologie 3D au cinéma, les quelques chanceux qui ont pu revoir le film ensuite via les télés et blu-ray 3d le confirment : celui-ci prend tout son sens avec cette technologie. Et visiblement, c’est rebelote avec ce deuxième volet qui, d’après les premiers retours, pousse le bouchon encore plus loin niveau 3D. C’est tout le mal que l’on souhaite au film !
Top casting
Bien sûr, il y a les ti bolom bleus d’usage dans ce deuxième Avatar, mais surtout, le casting du premier volet rempile avec les Zoe Saldana, Sam Worthington, Sigourney Weaver et le méchant Stephen Lang. Et on devrait aussi retrouver Kate Winslet dans ce deuxième volet, sous les traits d’une Na’vi, comme Zoe…
Tout le monde en parlera
En cette période de fêtes, les familles vont bien évidemment se rencontrer autour d’un sapin ou d’une bonne pétarade à la fin de ce mois. Et c’est clair qu’Avatar : la voie de l’eau sera l’un des sujets de conversations phares en ces occasions, vu que c’est un peu la grosse sortie de décembre. Donc, allez voir le film pour être moins zako dan la mizik…
Jolies premières réactions
Après les nombreux TV spots et trailers, le marketing autour du film s’est particulièrement axé sur les premiers retours venant des petits chanceux qui ont vu les films lors des avant-premières, notamment à Londres et aux USA. On parle de commentaires bien positifs du genre : «Chef-d’œuvre visuel», «leçon de cinéma», «phénoménal», «à couper le souffle», entre plein d’autres commentaires dithyrambiques. De quoi attendre ce 14 décembre avec encore plus d’impatience.
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