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Cannes : Du glam, de la «Grace», de la disgrâce

19 mai 2014

Et voilà, nous sommes en plein festival. Et cette année ne déroge pas à la règle, avec toutes sortes d’émotions et d’images autour du septième art et du glamour pour cette 67e édition du Festival de Cannes, qui prend fin le 25 mai. Et on commence avec… le commencement, avec une cérémonie d’ouverture qui a vu un Lambert Wilson qui se lance dans un trip pas possible, et qui n’a pas hésité à faire quelques pas de danse avec Nicole Kidman.

Début dans une plutôt bonne humeur donc, mais suivi d’une douche froide, surtout pour Nicole qui a ouvert le festival avec le film Grace de Monaco d’Olivier Dahan (La Môme). Un long-métrage qui a complètement refroidi la presse, qui parle d’un vrai naufrage cinématographique. Dommage pour le come-back de Nicole, toute en grâce, mais qui n’est pas pour autant une Grace mémorable.

Par contre, à l’heure où nous mettions sous presse, d’autres films avaient beaucoup plus convaincu. On notera pour le moment Mr Turner de Mike Leigh (Another Year), biopic s’inspirant de la vie du peintre William Turner, et aussi le long-métrage mauritanien Timbuktu, d’Abderrahmane Sissako, plongée apparemment très intense dans une ville en proie à l’extrémisme religieux.


Sans oublier, bien sûr, le tapis rouge, qui a vu défiler, comme d’habitude, de belles jeunes femmes. Allez, on arrête là et on vous laisse admirer.
 

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