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Dubaï : au pays des mille et une merveilles

24 février 2015

Du Burj Khalifa, la plus haute tour au monde, la vue est impressionnante.

Amazing! Oh my God ! Woaaaawww ! Les premières images de cette magnifique cité sont impressionnantes et les exclamations fusent… À chaque coin de rue, on voit surgir une merveille qui semble tout droit sortie de la lampe du génie d’Aladin, tant elle est extraordinaire. On a l’impression que les rêves les plus déments, les plus extravagants, les plus démesurés peuvent devenir réalité dans ce pays. Faites un voeux et l’impossible devient possible. En avant pour trois jours de folles découvertes lors de ce press trip organisé par Emirates.

 

Premier arrêt, lundi matin : le Dubai Mall, le plus grand mall au monde, évidemment. Un immense endroit qui abrite 1 200 magasins qui vendent les plus grandes marques , un aquarium géant, une immense librairie, un simulateur de vol appartenant à Emirates Airline, une réplique grandeur nature d’un dinosaure, entre autres. Mais surtout, le Dubai Mall jouxte le Burj Khalifa, la tour la plus haute au monde ! Oui, oui, à Dubaï, on veut tout faire plus grand que tout le monde. En haut des 240 étages – At the Top –, qu’on atteint en quelques secondes grâce à un ascenseur ultra-moderne, la vue est époustouflante avec d’immenses buildings, des routes à plusieurs voies et des «autoponts» à perte de vue. On en a le vertige.

 

Deuxième arrêt, lundi après-midi : exit la modernité, le luxe, le clinquant. On est en plein désert, après une heure de route et après que notre chauffeur Ali a dégonflé un peu les pneus du tout-terrain pour mieux rouler dans le sable. Devant nous, une étendue de dunes magnifiquement sculptées par le vent. L’atmosphère est magique, mystique. L’imaginaire s’emballe. On repense à Laurence d’Arabie, au berger de l’Alchimiste, à Tintin, aux contes des mille et une nuits, aux histoires de Bédouins et de chameaux. Notre véhicule rejoint un convoi de plusieurs autres 4x4 d’Arabian Adventures, la branche touristique d’Emirates Group. En route, on tangue, on monte, on descend dans une sorte de ballet et on fait quelques haltes pour voir un oasis construit par l’homme, faire des photos ou regarder le coucher du soleil. Ensuite, direction un village touristique au milieu du désert, où on peut voir des chameaux et même monter dessus, à nos risques et périls, car l’animal peut être vif. Mais les chameliers veillent au grain. On peut aussi se faire poser du henné, fumer du tabac aromatisé dans des shishas, regarder un spectacle à couper le souffle exécuté par une belle danseuse du ventre et manger des plats typiquement arabes, assis sur des coussins à même le sol. Dans une ambiance magique et hors du temps.

 

Spectacle impressionnant

 

Troisième arrêt, mardi après-midi : le vieux Dubaï. Ce sont Rui Miguel, notre sympathique guide portugais, et Sheik, un non moins sympathique chauffeur indien, qui nous conduisent à travers la ville et se mettent en quatre pour nous être agréables. Mais avant cela, un petit tour s’impose sur la plage longeant l’île artificielle où s’érige le Burj Al Arab, le plus grand hôtel au monde, avec sa structure moderne, sa haute taille, sa forme de voile de bateau et ses sept étoiles. Le spectacle, en vrai, laisse bouche bée, tant il est impressionnant. On reprend ensuite notre route, émaillée de découvertes diverses : la splendide Jumeirah Mosque, le château du sheik Mohammed Bin Rashid Al Maktoum, le musée de Dubaï situé dans une structure ancienne qui abritait des pêcheurs et où l’histoire du pays est contée dans une profusion de tableaux, de statues plus vraies que nature, mettant en scène les habitants des différentes époques, de la période où Dubaï était un village de pêcheurs à celle de son développement spectaculaire, en passant par celle où le pétrole a été découvert à la fin des années 60.

 

Après cela, on prend un bateau taxi traditionnel pour traverser le creek, le fleuve qui divise Dubaï en deux, et rejoindre Deira, dans le vieux Dubaï. On y fait connaissance avec les souks : celui des épices, où on peut aussi trouver divers souvenirs artisanaux, et celui de l’or, composé de centaines de bijouteries. Le quartier populaire grouille de touristes venant du monde entier, comme partout à Dubaï d’ailleurs. Les senteurs, les bruits, la pénombre naissante donnent aux lieux un cachet unique et authentique. Ici, on sent battre le coeur de la ville. La journée se termine par un dîner sur un dhow, l’un de ces vieux bateaux traditionnels en bois qui longent le creek et d’où on peut admirer Dubaï by night. Féerique.

 

Quatrième arrêt, mercredi matin : le Miracle Garden. Encore une fois, c’est extraordinaire ! Une profusion de fleurs colorées s’étend sous nos yeux dans des formes les unes plus spectaculaires que les autres : des coeurs géants, des trains, des maisons, un petit Burj Khalifa, des oiseaux, des carrés, des triangles, des rectangles. Une beauté à couper le souffle. Seul inconvénient : le soleil tape fort en cette matinée de fin d’hiver à Dubaï où la température s’élève quand même à 30 degrés. Et les fleurs ne font pas d’ombre. On apprécie quand même.

 

Cinquième arrêt, mercredi après-midi : Rui Miguel et Sheik nous emmènent découvrir le new Dubaï, cette fois. On longe les skyscrapers scintillants sous le soleil, les twin towers et autres, qui rivalisent d’imagination pour sortir de l’ordinaire. Rui Miguel nous explique, avec son accent chantant, que le motto à Dubai est «dream big» : «It has to be bigger than anywhere else or you don’t do it !»

 

Nous nous arrêtons à la marina de Dubaï, encerclée de buildings, puis au Jumeirah Beach Residence, un quartier moderne et luxueux récemment aménagé le long de la plage, avec des hôtels, des restaurants, des aires de jeux pour les enfants, des transats où les gens viennent se relaxer. Ensuite, il est temps d’aller prendre le métro pour Palm Islands, un archipel en forme de palmier, construit dans les années 2000 pour accueillir des maisons et des hôtels de luxe, dont la sublime Atlantis The Palm Hotel, avec son architecture inspirée de l’ancienne Arabie. C’est là que nous nous rendons.

 

Dès notre arrivée, on en prend plein les yeux avec la déco inspirée de la ville engloutie, les tableaux, les sculptures, l’aquarium, le distributeur d’or, les magasins et les restaurants haut de gamme. Nous dînons au Seafire, un magnifique lieu pour clôturer un magnifique séjour (voir hors-texte). Car le lendemain, on reprend l’avion pour rentrer à Maurice avec des étoiles dans les yeux, des images de rêve plein la tête et des souvenirs extraordinaires dans le coeur. Dubaï nous a séduits.

 


 

Atlantis, la somptueuse

 

Avec son architecture rappelant l’ancienne Arabie et son décor  marin inspiré de la cité engloutie d’Atlantis, cet établissement de 1 500 chambres est une beauté qui couronne Palm Islands. Idéal pour les couples aussi bien que pour les familles, Atlantis, the Palm Hotel est une vraie petite ville où on peut tout trouver : magasins et restaurants de luxe, aquariums, waterpark, piscines, spas, distributeur d’or et plein d’autres choses.

 

Mercredi soir, nous dînons dans un des 23 restaurants d’Atlantis, le Seafire Steakhouse, un endroit luxueux, chic et cosy, avec Maraika van Wessen, la Public Relations Associate Director d’Atlantis, et André Martin, le Public Relations Manager d’Emirates. Le thème est Franck & Jack, pour Franck Sinatra et Jack Daniels, et tout en est imprégné.

 

Le repas qui se prépare devant nous dans la cuisine vitrée est somptueux et nous ne partons pas sans avoir salué le jeune chef John Buenaventura, 29 ans seulement, qui nous avait confié plus tôt combien il était content d’accueillir des Mauriciens, car il connaît pas mal de nos compatriotes à Dubaï.

 


 

Le Meridien Dubai Hotel

 

Cet hôtel 5-étoiles, situé non loin de l’aéroport, a accueilli la petite équipe de journalistes mauriciens durant l’Emirates press trip. Cet établissement, qui assure un confort et un service impeccable comme partout à Dubaï, est fréquenté aussi bien par les touristes que par les hommes d’affaires. Il est composé de 579 chambres de différentes catégories, de 18 restaurants, de cinq piscines et d’une multitude de loisirs.

 


 

En quelques mots

 

Ce pays des Émirats arabes unis (EAU), entièrement construit sur le désert, a pour ambition de devenir l’endroit le plus visité au monde et il est en bonne voie de le devenir. Chaque année, des millions de touristes visitent Dubaï. Le pays est géré par le sheik Mohammed Bin Rashid Al Maktoum, vice-président et Premier ministre des EAU et émir de Dubaï. 4 % de la richesse du pays provient du pétrole et le reste des secteurs touristique, financier, technologique, commercial et autres.

 

Même si Dubaï est un endroit très ouvert, il est nécessaire de respecter des codes concernant, par exemple, l’alcool, disponible dans certains lieux seulement, et la tenue vestimentaire qui doit rester correcte. Autrement, le pays est un des plus sûrs au monde, avec un taux de criminalité très réduit. La chaleur peut être très élevée en été (avril à octobre) avec des températures allant jusqu’à 45 degrés.

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