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30 novembre 2022 22:14
De beaux moments qu’elle décrit comme une bénédiction : «J'ai rencontré Annick Beesela, de la compagnie Exotic Concept, qui organise ce concert, il y a peu de temps à Maurice. Une belle rencontre fusionnelle qui m’a donné confiance et qui m’a remplie de joie, en plus d’être une fierté pour moi en me proposant cette première partie. Même qu’une semaine avant le concert, j’ai été invitée pour la soirée Miss Diaspora Mauricienne à Paris, où j’ai chanté l’hymne national de Maurice pour débuter la soirée !» nous raconte Joëlle Coret. C’est là aussi qu’elle rencontre Mario Ramsamy, du groupe, pour la première fois, Mario étant le parrain de Miss Diaspora. Un homme qu’elle décrit comme «abordable, gentil, très pro aussi. Nos échanges étaient enrichissants, il n’a pas hésité à partager son savoir et son expérience.»
Jour J. C’est justement Mario Ramsamy qui introduit Joëlle Coret au reste du groupe. «C’était une rencontre magique. Ils ont tous été très accueillants, que ce soit Emile ou Jean-Luc.» Après un brin de causette, c’est l’heure ! En première partie, Mégane B de Belgique, Carole Boyer de France et, bien sûr, notre chère Joëlle Coret, juste avant le grand trio. «J’ai proposé une reprise du morceau Sensualité d’Axelle Red, suivie de mon Mama, et j’ai terminé sur le I Will Survive de Gloria Gaynor. J’ai remarqué qu’il y avait des membres de la diaspora dans le public. Ils étaient immensément réceptifs. Ils semblaient en demander encore !»
Et ce n’est pas fini ! Joëlle remontera sur scène pour clôturer la soirée, accompagnée du groupe Ravannier de Vicken de France et les danseuses du groupe Filles des Iles de la Belgique, pour une touche mauricienne ! «Clairement, le clou du spectacle, une soirée inoubliable, une bénédiction et une consécration pour moi, et un pied de nez à ceux qui ne croyaient pas en moi ou qui avaient des préjugés sur mon talent de chanteuse.» Bref, du Joëlle Coret power, en somme !
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