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Leucémie : tendez la main à Clarissa, 2 ans

27 avril 2016

Leucémie : tendez la main à Clarissa, 2 ans

Dans sa voix, de l’inquiétude. Dans son cœur, de l’espoir et de l’amour. Beaucoup d’amour. Marinette Marcelin envoie, tous les jours, des vibes positives à son arrière-petite-fille, Clarissa Macaque, qui se trouve actuellement dans un hôpital de Bangalore pour des soins. La petite princesse est atteinte d’une leucémie et a besoin de suivre des sessions intensives de chimiothérapie afin de pouvoir s’en sortir. Pour l’instant, les médecins poursuivent ce traitement difficile en attendant de pouvoir commencer des tests sur sa mœlle osseuse. Cela, afin de s’assurer que la maladie recule. Et la petite a besoin d’argent. Si vous souhaitez l’aider, un compte en banque est à votre disposition : SBI – 157007623101.

 

Clarissa vit dans cette grande ville indienne depuis plusieurs mois, avec sa maman Desirella, une mère célibataire. Et c’est donc Marinette qui s’occupe, tous les jours, d’essayer de trouver de l’argent pour payer les soins de son petit rayon de soleil.«Desirella est ma petite-fille. Je me suis toujours occupée d’elle. Et quand elle est tombée enceinte, je me suis occupée de son enfant aussi», confie cette habitante de Quatre-Bornes, un peu dépassée par la situation. Malgré la distance et les longues journées à passer la quête et à frapper aux portes des entreprises, elle porte en elle le sourire lumineux de son arrière-petite-fille : «Elle vient d’avoir 2 ans le 8 avril. Elle est toute petite.»Trop petite pour souffrir autant, trop petite pour rester enfermée dans une chambre d’hôpital…

 

C’est l’année dernière que Clarissa est tombée malade : «Elle toussait. Elle avait beaucoup de fièvre. Le médecin disait que c’était une bronchite. Et puis, comme elle ne guérissait pas, l’hôpital a lancé des tests. Et nous avons appris la terrible nouvelle.» À partir de là, la vie de ces deux femmes, la grand-mère et sa petite-fille, a basculé dans le choc et le désespoir. Mais elles n’ont pas baissé les bras longtemps. Il fallait toute leur énergie pour sauver leur petit amour. Après des démarches auprès du gouvernement pour obtenir l’aide financière proposée dans ce genre de cas, Clarissa et sa maman ont pu s’envoler vers Bangalore. Marinette, elle, est restée pour continuer la bataille financière. Pour trouver de l’argent afin de s’assurer que son arrière-petite-fille puisse obtenir les soins adéquats.

 

Alors malgré les difficultés à trouver des fonds et l’inquiétude qui lui ronge le cœur, elle ne lâche rien. Au nom de Clarissa.

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