Publicité
10 août 2021 16:22
Dance avec moi
Déterminé malgré des confinements qui ont eu raison de ses sources de revenus, essayant de se réinventer, Zulu nous vient avec un morceau d’ouverture acoustique plutôt intense, qui annonce la couleur de son United Colors. Il est de retour, il a repris sa guitare et nous invite à danser avec lui, avec son âme, pour des lendemains meilleurs à Maurice.
Mo lamour (featuring Véronique Martin)
Voici une chanson plus légère, plus romantique, où l’artiste laisse parler sa vibe amoureuse, aidé par une voix féminine. Parfait pour une danse enlacée à deux.
Tequiero (featuring Kiki Samudio)
Toujours des petites notes acoustiques dans ce morceau où Zulu chante en français sur sa «princesse», même si plusieurs retrouveront la grosse sonorité «musique latino» annoncée dans le titre.
Reziser Kaboss
Retour au kreol morisien, avec des sons de violon mais aussi une ambiance essentiellement séga, pour cette reprise d’un séga d’antan de Noëlla Allas. Les connaisseurs vont adorer.
Tou sel
Une chanson entraînante, très fusion, sur le blues des musiciens qui amusent le public mais qui se retrouvent seuls par la suite…
Prisonier ene paradi
Il s’agit d’un morceau qui a été écrit pour les besoins du long-métrage Prisoners of Paradise. À l’heure où nous mettions sous presse, l’artiste ne savait toujours pas si la chanson allait se retrouver dans le film. Mais en tout cas, c’est là, c’est mauricien, c’est triste, c’est beau !
Kuler mo la po (featuring Jean-Yves Bestel)
Ce morceau était, si l’on veut, le teaser pour cet album. On l’a entendu sur les ondes des radios et il y a la vidéo de lancement en live sur les réseaux sociaux. Du pur Zulu, entraînant, avec des notes qui rappellent plusieurs autres morceaux de l’artiste, avec toujours un message d’unité.
La vie kuma ene soley
Ti le le, ti le le… Ce sont les mots qui couvrent toute cette chanson très nostalgique mais aussi très positive, où il est question de vivre sa vie pleinement, de s’amuser, de respecter aussi.
Paradi l’enfer
Un constat amer sur des notes acoustiques et reggae, avec des chœurs d’enfants, où il est question de misère à Maurice, de personnes qui n’ont plus d’espoir, d’une unité qui est mise à rude épreuve, «pou pa les nou paradi gagn kouler lanfer».
Publicité