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Rentrée scolaire : moi, nouvel académicien

22 juin 2021

Guillaume Pydiah, John Kennedy College : «C’est avec un pincement au cœur que je quitte le SSS de Forest-Side où j’ai cheminé du Grade 7 au Grade 9. J’embarque maintenant pour une nouvelle aventure au John Kennedy College qui est désormais une académie. J’ai toujours aimé cet établissement et je suis content de faire partie de ce premier groupe d’étudiants (émanant de la Nine-Year Continuous Basic Education) qui intègrent les académies qui ont aussi été transformées en établissements mixtes. En sus de nous épanouir académiquement, on pourra aussi apprendre de l'autre. Ce n'est que du positif.»

 

Hitesh Bhonoo, QEC : «J'entame une nouvelle étape de ma scolarité avec confiance. C'est un défi que je compte relever avec le soutien de ma famille et de mes enseignants. Je suis très content de poursuivre mes études au collège Queen Elizabeth qui est maintenant un établissement mixte. C’est nouveau pour nous qui intégrons ces académies mais cette expérience ne pourra que nous enrichir. J’ai beaucoup appris durant mes années au collège du St-Esprit et je suis très reconnaissant envers l’établissement pour tout ce qu’il m’a apporté. Le QEC n’est pas vraiment un endroit inconnu pour moi. Ma mère et ma grande sœur y ont été élèves et mon père travaille là-bas comme professeur d’éducation physique. Je connais la rigueur de l’établissement et je vais tout faire pour marcher dans les pas de ma mère et de ma sœur.»

 

Rhiya Maraye, RCPL : «J’ai ressenti beaucoup de choses quand je suis arrivée dans mon nouveau collège, lundi. Je suis contente et surtout très fière de l’opportunité qui s’offre à moi. Je ne regrette pas mes années sur les bancs du collège Lorette de Quatre-Bornes. L’institution m’a beaucoup apporté mais pour moi, intégrer le collège Royal de Port-Louis est un accomplissement. Cet établissement était mon premier choix car je voulais me lancer un challenge. Et la mixité, pour moi, n’est pas un problème. Au contraire, c’est quelque chose qu’il faudrait normaliser. Filles et garçons sont appelés à toujours se côtoyer, que ce soit à l’université ou encore dans le monde du travail. Et le faire au collège est une chose logique.»

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