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50 nuances un peu nuancées

16 février 2015

Un gars, une fille et plein de sexe, enfin un peu.

Monsieur Grey va vous recevoir très bientôt. Et ça risque d’être quelque chose, vu le buzz que suscite l’adaptation ciné de 50 Shades of Grey, trilogie d’E. L. James, sortie le 11 février aux USA et en Europe (les deux suites viendront après, les contrats ont déjà été signés). Chez nous, on le recevra mercredi, mais entre-temps, on a eu l’occasion de lire un peu ce qui se dit sur le film probablement le plus attendu de l’année.

 

Pour ceux qui n’ont pas lu les critiques ou qui n’ont pas Internet, 50 Shades of Grey raconte la relation un peu, pas trop, un peu beaucoup sado maso entre la vierge (au début…) Anastasia et le beau, le ténébreux, l’homme d’affaires mystérieux, le beau et ténébreux (oui, on se répète) Christian Grey, adepte de ces pratiques à base de fouets et de sexe un peu, pas trop, un peu beaucoup violentes…

 

Les premiers retours, après une semaine sous les notes de Beyoncé, divisent légèrement. Ainsi, certains ont trouvé que c’était «un peu plus qu’un bon divertissement» (Métro), «une bonne surprise» (Paris Match), pendant que d’autres n’y vont pas de main morte pour descendre le long-métrage de Sam Taylor-Johnson : «tellement mal écrit que ça fait rire» (IGN), «rien à sauver» (Le journal du dimanche), «du supplice que pour une seule personne : le spectateur» (Libération), «ne fait pas frissonner» (Le Point).

 

Sans oublier, bien sûr, des déclinaisons, des parodies (dont une avec l’acteur Steve Buscemi et une version de la bande-annonces avec des dialogues mauriciens) et d’autres malins qui ont même trouvé 50 incohérences dans le film…

 

Tout ça pour dire que, par les temps qui courent, il sera difficile, que l’on aime ou pas, de passer à côté des histoires de monsieur Grey.     

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