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29 septembre 2014 12:07
Il était une fois, un long-métrage qui, en anglais, s’intitulait Into the Storm. Et qui, pour la version française, a été rebaptisé Black Storm ! Bon, sans plus polémiquer sur la traduction discutable du titre, parlons plutôt de ce qui se cache sous cette tempête noire : un film rempli de vent et de cheveux qui vont dans tous les sens, ainsi que des gens qui meurent. Bref, c’est un film catastrophe !
Il ne fait pas bon vivre à Silverton. Cette ville est en proie à une série de tornades sans précédent. Certains fuient, d’autres viennent avec leurs caméras, et les météorologues prédisent que le pire est à venir ! Voilà, ça, c’est pour l’histoire qui brille par sa brièveté. Mais au final, on s’en moque. On s’intéresse plutôt à la tempête noire.
Et paf ! Des tornades en veux-tu, en voilà. Du genre à faire voltiger les véhicules et les gens. On se croirait en pleine production Syfy. Mais il faut aussi avouer qu’au niveau des effets spéciaux, le film se débrouille plutôt bien puisque c’est tout de même une réalisation de Steven Quale, superviseur des effets spéciaux d’Avatar. Bon, il est aussi réalisateur de Destination Finale 5, mais ça, ce n’est pas très important.
Revenons à la tempête noire, au feu, au vent tendance numérique et au… nain. Eh oui ! Il y en a un dans le film. Et pas n’importe lequel, puisqu’il s’agit de Richard Armitage, le beau et charismatique Thorin Oakenshield, leader nain de la trilogie Hobbit. Au cœur de la tempête (précisons-le encore une fois : elle est noire), il retrouve sa taille normale, met une chemise et un pantalon, et tente de s’accrocher à l’héroïne Sarah Wayne Callis qui quitte les zombies de Walking Dead pour aller chercher des noises à la météo. Rien de vulgaire, c’est juste qu’il y a beaucoup de vent !
Vous l’aurez compris, Black Storm est un peu stupide, mais il se défend plutôt bien techniquement. Et surtout, après le film, prévoyez un petit tour chez le coiffeur…
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