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Des vedettes pour un festival

21 décembre 2015

Des vedettes pour un festival

Christophe Willem : «C’est gratifiant de participer à un événement comme celui-là»

 

Vous connaissez déjà Maurice pour y être venu. Quels souvenirs gardez-vous du public mauricien ?

 

J’en garde un souvenir incroyable, l’accueil avait été des plus chaleureux. J’avais aussi assisté aux courses. 

 

Comment définiriez-vous votre année 2015 ?

 

L’année fut très marquée par le live, entre Les nuits paraît-il(concerts intimistes dans des lieux insolites), les festivals d’été et enfin la tournée d’automne/hiver qui s’achèvera en avril prochain.

 

Vous serez bientôt à Maurice dans le cadre du Labourdonnais Music Festival. Qu’est-ce que cela vous fait d’être associé à un tel événement ?

 

C’est extrêmement flatteur. C’est toujours gratifiant pour un artiste de participer à un événement comme celui-là. Et puis, mon producteur est mauricien. Alors il était temps de revenir sur ses terres.

 

Pourquoi est-ce que les Mauriciens ne devraient pas rater cet événement ?

 

Parce qu’avant toute chose, ça sera un vrai moment de partage, de joie et d’amour. La musique est un langage universel. Il n’est pas nécessaire de connaître tout le répertoire d’un artiste pour être embarqué et réceptif à sa musique.  

 

Quels sont vos projets pour 2016 ?

 

La suite de la tournée avec un rendez-vous au théâtre du Châtelet, à Paris, pour un concert avec l’Orchestre national de Lille en philharmonique afin de célébrer les dix ans de carrière avec le public. Puis, le retour en studio pour préparer la suite et l’album cinq, avec probablement quelques dates de festival pendant l’été 2016.

 


 

Marina Kaye : «Je vous remercie du fond du cœur»

 

Peut-on dire que 2015 a été votre année ?

 

On peut dire que 2015 a été l’année du grand déclic. Chaque année, depuis que je travaille sur ce projet, a été primordiale et m’a apporté son lot de souvenirs et d’aventures.

 

Du jour au lendemain, vous êtes devenue une célébrité. Comment gérez-vous votre notoriété ?

 

Je ne suis pas une célébrité, je suis une chanteuse qui travaille et fait de son mieux pour faire quelque chose de qualitatif. Je suis quelqu’un de très discret et je pense que tout est une question de dosage. Les choses peuvent vite nous monter à la tête et c’est pour cela que je reste très en retrait hors scène. 

 

La France est passée par des moments pénibles avec les récents attentats. Les artistes se sentent très concernés par ce qui s’est passé. Comment avez-vous vécu cela ?

 

Honnêtement, j’évite d’évoquer ce genre de sujet, j’ai été très choquée comme tout le monde. Je partais en tournée ce soir-là et ça a affecté l’esprit de toute l’équipe pendant un long moment. Mais je reste persuadée que la seule chose à faire est de continuer à aimer, à chanter et à tenter de donner du bonheur de toutes les façons possibles. 

 

Ce sera votre première fois sur une scène mauricienne. Avez-vous quelques mots pour vos fans ici ?

 

Je ne sais pas quelle portée a eu le projet chez vous, mais à ceux qui me connaissent et aiment ma musique, je vous remercie du fond du cœur. À ceux qui ne me connaissent pas encore, j’ai hâte de faire votre rencontre et de vous présenter mon projet ! 

 


 

L.E.J : «On a hâte !»

 

Comment définiriez-vous le style L.E.J ?

 

On ne se définit pas vraiment. On vient du classique de par notre formation et on écoute de tout : du hip-hop au jazz, en passant par la variété française et le reggae. Et nous sommes influencées par tous ces styles.

 

Que connaissez-vous de l’île Maurice ?

 

Pour l’instant, pas grand-chose. Mais on a hâte ! On sait déjà qu’on va pouvoir profiter de la plage, du sable fin et du soleil. C’est déjà ça !

 

Que proposerez-vous au public le 27 décembre ?

 

Un concert comme on a l’habitude d’en faire. C’est-à-dire des reprises (en partie celles présentes sur l’album), mais aussi quelques compositions. Mais surtout de la joie, de la bonne humeur et du partage !

 


 

Infos pratiques

 

À partir de 16h30, le 27 décembre au Château Labourdonnais, plusieurs activités made in Mauritiusseront au programme : un marché éphémère artisanat mauricien, un service de restauration avec des spécialités mauriciennes, une buvette et un espace VIP vous plongeront tout de suite dans l’ambiance du festival. Et à partir de 18 heures, c’est la musique qui prendra ses droits. DJ Assad et Yoan Catherine seront aussi de la partie. Le billet est à Rs 1 000 et est disponible à travers le Rézô Ôtayô (tel. 466 9999).

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