Fast and Furious 7 : Des raisons d’admirer la nouvelle carrosserie

6 avril 2015 14:00

●Parce que Paul Walker n’est plus : Ce nouveau volet nous vient avec une aura assez spéciale, puisqu’on ne peut pas l’évoquer sans parler de la mort accidentelle de Paul Walker qui n’a pu terminer certaines scènes. Ce sont ses deux frères qui ont complété les cascades, le numérique aidant aussi. Aucun doute que l’émotion gagnera les fans.

●Parce que Jason Statham a la haine : Son frère est mort et il n’est pas content. Il fallait vraiment un acteur de poids pour faire face à la bande des Furious. Le méchant, c’est donc Jason le Statham. En tout cas, il n’a pas peur de se bagarrer contre plus gros que lui.

●Parce que le casting est pectoral : Ce n’est un secret pour personne, il y a du beau monde (au sens propre comme au figuré) dans ce film. D’abord feu Paul Walker et ses yeux bleus, Vin Diesel et son crâne aussi gros que ses muscles, The Rock à qui on a enfin donné un très gros fusil, Jason le transporteur qui est énervé, des Afro-américains tendance hip-hop, la future Wonder Woman, et même un certain Kurt Russel, entre autres.

●Parce que James Wan réalise : C’est un nouveau venu dans le genre qui est aux commandes de ce septième épisode. Mais pas n’importe lequel, puisque nous parlons ici de James Wan, jeune réalisateur qui s’est taillé une belle place dans le cinéma horrifique ces dernières années. Vous savez donc qui remercier si vous avez apprécié le premier Saw, les deux Insidious et The Conjuring. Fast and Furious 7 est une bonne raison d’aller voir comment le jeune homme applique sa mise en scène au service des bolides lancés à toute vitesse.

●Parce que ça explose de partout : Ce qui a démarré comme une sorte de Point Break en version courses de voiture illégale, s’est vite transformé, dès le quatrième volet, en un film d’action de plus en plus ambitieux. Chose confirmée avec les cinquième et sixième volets, explosifs avec de très grosses scènes d’action incluant des avions, des trains et des tanks. Dans ce nouvel opus, il n’y a qu’à voir une grosse voiture sortir d’un gratte-ciel pour se rendre compte que ça n’a pas changé.