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2 décembre 2014 12:18
Des jeux, de la rébellion et, maintenant, de l’insurrection. Comme quoi, la trilogie Hunger Games, au fil des livres et des films, s’enfonce un peu plus dans la noirceur. Dans ce dernier volet, les choses vont plutôt mal et les ambitions sont encore plus revues à la hausse en ce qui concerne Katniss. Car non contente d’avoir détruit l’arène des jeux, la belle va maintenant se joindre à la rébellion pour en devenir le symbole et, du même coup, sauver son Peeta et libérer le pays de la tyrannie !
Et nous voici encore dans ces films remplis de jeunes fougueux et passionnés qui doivent renverser un monde dystopique (vous savez, ces sociétés très dictatorides), comme on l’a récemment vu avec les très oubliables (mais sans être foncièrement mauvais) Divergente et The Giver. Sauf que niveau popularité, la saga Hunger Games remporte les suffrages, portée par de bons arguments : une actrice principale connue de tous grâce à ce rôle (pas son meilleur en tout cas), une réalisation beaucoup plus soignée après un premier volet au montage bien discutable, depuis rattrapée par un deuxième plus réussi.
D’ailleurs, c’est à nouveau le réalisateur du deuxième, Francis Lawrence (I am Legend, Constantine – qui n’a pas de lien de parenté avec Jennifer), qui s’occupe de la franchise et qui, pour le moment, pose les bases et les enjeux du récit pour tout faire péter dans le prochain. Car pour l’apothéose, il faudra attendre la deuxième partie qui s’annoncera donc plus spectaculaire. D’ici là, les fans devraient aimer retrouver les personnages et l’univers de leur saga…
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