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La vie de fashionisto de Warren

Âgé de 21 ans seulement, Warren Fitzgerald a décidé de faire de sa passion son travail et le vit à fond. Il est un coach de natation sportive totalement épanoui et bien dans sa peau. Sa deuxième passion est aussi un sport qu’il a pratiqué auparavant : le foot. En gros, sa vie et souvent ses codes vestimentaires tournent autour de ces deux sports. Rencontre…

Si vous deviez utiliser un adjectif pour décrire votre style ?

 

Je choisirais l’adjectif «soigneux», parce que je suis une personne qui prend énormément soin d’elle-même. Souvent, cela peut être vu comme un petit côté féminin. Mais aujourd’hui, je me sens bien dans ma peau et ça me va parfaitement.

 

Qu’est-ce qui fait de vous un fashionisto?

 

Déjà, il faut garder un œil constant sur les fresh news de l’univers fashion. Honnêtement, vous me verrez rarement bien habillé pour aller au centre-ville. Je suis plutôt du genre décontracté mais toujours avec un style défini ; plage et sport principalement. Finalement, j’essaie tant bien que mal de me procurer les derniers accessoires et tenues fashion.

 

Quelles sont, selon vous, les pièces indispensables à avoir dans une armoire ?

 

Un costume ! Qu’on le veuille ou non, on devra tous porter cette tenue un jour ou l’autre. Et même si parfois nous pouvons nous sentir étrange, le costume fera ressortir la classe absolue qui est en vous messieurs. Alors sortez le grand jeu et croyez en vous !

 

En tant que jeune et sportif de haut niveau, avez-vous un conseil mode pour nos lecteurs ?

 

Je donnerai plutôt un conseil général. S’il y a bien une chose que je répète aux jeunes, c’est qu’ils doivent croire en eux avant tout, parce que s’ils ne croient pas en eux, qui va le faire ? Allez-vous battre pour vos rêves, ne vous arrêtez jamais. Il n’y a pas de secret pour réussir… il faut bosser. Une de mes citations préférées est «L’optimiste ne refuse jamais de  voir le côté négatif des choses ; il refuse simplement de s'attarder dessus» d’Alexandre Lockhart.

 


 

Mes JIOI en tant que consultant…

 

Vous avez été consultant pour un groupe de média privé pour les épreuves de natation durant les JIOI. Comment avez-vous vécu cet événement ?

 

Honnêtement et sans être arrogant, il n’y avait personne de mieux placé que moi pour être consultant pour les épreuves de natation. Je connais tous les nageurs, ils me connaissent aussi, la majorité ont été mes partenaires d’entraînement lorsque j’étais encore athlète de haut niveau.  J’ai kiffé le fait de commenter les épreuves de natation sur un plateau avec des journalistes. Il est vrai qu’au début, j’étais plutôt nerveux à l’idée de passer en direct sur l’un des réseaux sociaux les plus fréquentés. La crainte de faire des erreurs étaient bien présente, surtout qu’on sait que le Mauricien a parfois la critique facile. Toutefois, avec le soutien de mon entourage, tantôt taquin tantôt admirateur, je me suis senti de plus en plus à l’aise et épanoui dans mon rôle de consultant.

 

J’aurais aussi énormément adoré représenter mon île lors de ces JIOI. Battant comme je suis, j’aurais tout donné, d’autant que participer aux jeux à la maison est un rêve de gosse. Mais bon, je n’ai pas continué sur cette lancée et j’ai décidé de poursuivre les mêmes rêves en tant qu’entraîneur. Cela dit, sur le coup, j’ai préféré cette expérience de consultant où il faut faire le lien. Si je n’étais pas entraîneur aujourd’hui, je n’aurais fort probablement pas eu ce rôle.