Ma contribution à Porlwi by Light

1 décembre 2016 03:04

Dans la boîte à images d’Eric Lee

Il fige les moments et les émotions. Diplômé en communication et design de l’Institut Charles Telfair, Eric Lee, 22 ans, est un passionné de photographie depuis sept ans. Si pour lui, c’était d’abord un passe-temps, la passion s’est, au fil du temps, développé en un objectif de vie. C’est le cas de le dire car depuis, dans son objectif, défilent maintes et maintes images.

Autodidacte, Eric, connu pour ses portraits et photos de mode, a participé à des projets culturels sur le plan local, dont Porlwi by light. Il a également collaboré avec des artistes locaux qui lui ont permis d’affirmer son style. Sa touche personnelle : l’usage de la lumière naturelle. L’effet épuré est une de ses signatures.

Ayant un intérêt pour les portraits en noir et blanc, celui qui continue à évoluer artistiquement a notamment reçu le Backstage Award en 2015.

En pleine lumière avec Richa Gujadhur

Entrer dans son monde, c’est entrer dans la lumière. Et elle a plusieurs cordes à son arc. Richa Gujadhur est designer, a été formée en Interior Design, avec de l’expérience dans le mobilier et le secteur de l’événementiel. «J’ai étudié à l’université et j’ai commencé à travailler en 2005. J’ai ensuite fait ma maîtrise en 2008 et depuis, j’ai travaillé sur des projets différents. Je m’intéresse à la manière dont les gens travaillent, voyagent, vivent dans leur environnement et poursuivent des projets créatifs»,explique la jeune femme.

Elle se dit honorée de participer à un événement comme Porlwi by light. «Mon rôle sera s’illuminer des artères de la capitale comme la rue sir William Newton.»

Al4Rage pour faire danser la capitale

Ils sont quatre. Ils s’appellent Stéphane Hitié, Jean-Luc Rousselin, Christopher Meyepa et Jérôme Rochecouste. À travers Al4Rage, ils arpentent la planète musique de long en large. Du flamenco au rock en passant par du soft rock, du séga acoustique et du rythm & blues, la petite bande explore toutes les possibilités qu’offre la forme d’art dans laquelle ils ont choisi d’évoluer.

 Stéphane Hitié, impatient à une semaine de l’événement, confie : «On existe depuis quatre ans et c’est pour nous une grande opportunité de pouvoir raconter notre histoire et partager notre musique dans un événement où l’on célèbre notre île avec son art et son esprit libre.»