Publicité
5 novembre 2015 15:50
Décidément, c’est le raz-de-marée ! Nous parlons ici des albums solos des membres de Negro Pou La Vi. Après Soul T et son opus éponyme, et en attendant l’album à venir de BNG, on se penche sur Yenla, de son vrai nom Bryan Ber, l’autre membre du groupe. Il nous offre un voyage différent de celui de son pote Tony qui s’est essayé à des styles plus populaires. On aura droit à un troisième album solo, intitulé Real Ambassada, qui succède à Exotikal Man (2007) et Malada (2011).
«Je suis connu depuis un moment comme un artiste dancehall et ce n’est pas près de s’arrêter avec ce nouveau disque. On aura donc droit à du dancehall, mais aussi à des incursions reggae, sans oublier des featurings, comme avec l’Américain Big Pitch et d’autres artistes de La Réunion ou de Madagascar, que je laisserai le public découvrir», lance Yenla, dernier membre à rejoindre Negro Pou La Vi.
Mais attention, la carrière de ce père de deux enfants remonte à un peu plus loin tout de même. Il commence à se faire voir et entendre lorsque ses potes de System R l’invitent à chanter sur la version mauricienne du Chihuahua de DJ BoBo en 2003. Depuis, on l’a entendu sur des chansons de Monaster, Nancy Derougère et Don Panik, avant qu’il intègre la bande à Soul T en 2011. «Une sacrée expérience» pour notre interlocuteur qui sera par la suite sur l’album New World People, sorti en 2012, après avoir fait un show avec ses potes au Stade de France en 2011, lors d’un grand festival de musique africaine. «Ce sont des moments inoubliables lors desquels je me suis fait des amis, des contacts et où j’ai énormément grandi musicalement», explique Yenla.
On attend d’écouter ce Real Ambassada et de visionner le clip de sa nouvelle chanson, Slow Mo Tune, qui devrait bientôt être mis en ligne. Les membres du groupe Negro Pou La Vi ont décidément la pêche en ce moment.
Publicité