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5 mai 2016 21:34
Encore un reboot qui gagne le monde du jeu vidéo. Voici que nous vient Resident Evil sixième du nom (en attendant un septième annoncé, mais dont on attend toujours un signe de vie), remastered, pas si nouveau, mais tout beau. Une belle occasion, surtout pour ceux qui n’y ont jamais joué.
Trois axes scénaristiques, où vous suivrez les aventures de deux personnages dans chacun : Leon et Helena, Chris et Piers, Jake et Sherry. Trois campagnes (qui peuvent être trois jeux en fait car, ajoutées ensemble, elles forment une belle durée de vie) qui, une fois finies, débloquent une quatrième, où vous pourrez contrôler Ada Wong qui fait des apparitions plutôt remarquables tout au long des aventures des autres. Le tout avec un scénario toujours à base de virus, de villes en quarantaine, etc.
Le plaisir est varié, entre les scènes dignes d’un blockbuster (les affrontements contre les boss surtout), privilégiant l’action, et d’autres moments plus angoissants qui remontent plus ou moins aux premiers épisodes de la série. Le gameplay consiste toujours en une vue à la troisième personne, avec inventaire à gérer (en temps réel, cette fois, aïe, aïe !), coups de pied et de poing si vous vous faites agresser de trop près, et quelques quick time events ici et là.
Un titre qui a un peu le cul entre deux chaises, avec des moments inégaux (certains ennuyeux, d’autres très intenses et/ou spectaculaires), mais que l’on peut maintenant découvrir dans des conditions optimales, à 60 images par seconde et en Full HD1080p. Le jeu étant beau à la base.
Faut-il craquer ? Aucun doute que vous pouvez vous procurer ce Resident Evil 6 si vous n’y avez pas joué sur la génération précédente. Par contre, si vous l’avez déjà fini sur XBOX 360 ou PS3, vous pouvez le prendre à petit prix plus tard, juste au cas où vous n’avez pas découvert tous les embranchements des scénarios. Ce que vous pourrez faire dans des conditions optimales.
Sinon, attendons plutôt un remaster du quatrième volet, considéré par beaucoup comme l’un des meilleurs de la saga.
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