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Dans les coulisses de Super Chef

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Les producteurs soignent l’entrée des candidats : elle doit être énergique et synchronisée.

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Sous le regard des chefs, qui sont leurs juges, mais aussi celui des caméras, les candidats relèvent les défis culinaires.

Vous adorez les émissions comme Master Chef ou encore Top Chef. Découvrez la version mauricienne de ces concours télévisés à partir du 6 octobre. En attendant, voici une petite mise en bouche…

Une émission à croquer. Et vous la dégusterez avec plaisir et sans modération dans quelques jours. Patience, patience ! L’émission culinaire Super Chef, le Master Chef à la sauce savoureuse mauricienne, débarque sur vos petits écrans le samedi 6 octobre. On se dépêche ! On se procure les chaînes nationales si on ne les a pas – antennes, lecteurs TNT, entre autres – sinon on risque de passer à côté de la première émission qui mettra un peu de piment à la MBC (eh oui ! Un miracle est possible). Des challenges surmontés (ou pas), de l’émotion, des victoires, des défaites, des coups de cœur, des déceptions… De quoi épicer vos soirées télé du samedi (et même vos dimanches car une rediffusion est prévue).

Vous en avez déjà l’eau à la bouche ? Comment satisfaire, un peu, votre gourmandise jusqu’au 6 octobre ? Tout simplement en vous offrant un avant-goût de cette émission, fruit d’une idée d’IBL Brand Activ et d’un partenariat avec INSTYLE, Air Austral, Sun Resorts et 5-Plus Dimanche. Vous avez sûrement relevé le nom de votre hebdomadaire préféré ? Et vous sentez la bonne nouvelle venir ? Bonne déduction ! En avant-première, nous vous emmenons dans les coulisses du premier jour de tournage de ce concours culinaire télévisé…

Et ça commence très tôt ! Premier point de rencontre : 5h45, gare de Rose-Hill, en cette journée de juin. Le froid mordant de ce début de matinée sans soleil n’entame pas pour autant l’enthousiasme et la détermination de la trentaine de candidats déjà présents dans l’autobus de Super Chef. Se réveiller tôt et braver la saison froide, alors que couettes et oreillers sont si douillets, n’est pas un problème pour eux : il s’agit de passionnés, d’hommes et de femmes qui partagent un même amour, celui de la cuisine.

Et cette flamme tient bien au chaud leur détermination. Ils ne sont pas des professionnels. Seulement des amateurs qui possèdent le feu sacré ! Après tout, la phrase, bientôt mythique, de la saison 2 de Super Chef : «Ça va chauffer», colle parfaitement à leur état d’esprit. Quelques minutes après avoir pris la route, le soleil fait son apparition et embrase le ciel d’un bleu pâle. Le Super transport fera de nombreux arrêts pour récupérer tous les candidats (une cinquantaine en tout), arrêt de bus de Trianon, municipalité de Curepipe, route perdue de Quartier-Militaire…

Il est 9h30 quand la cuvée 2012 de l’émission culinaire débarque à l’hôtel Long Beach, qui se trouve dans l’est de l’île. La route a été longue. Et à chacun son moyen de se «refaire» avant d’attaquer la compétition : une tasse de café pour certains, du thé pour d’autres, une cigarette pour les fumeurs et des mignardises pour tous. Mais il faut faire vite. Le planning de cette première journée de tournage est surchargé. Remise de tabliers et de «badges», briefing d’explication et visionnage de vidéo pour la première épreuve : très vite, les participants sont dans le bain… de légumes. Difficile de vous en dire plus sur les épreuves. Ce serait vous gâcher la surprise du 6 octobre !

Talents

Entre les différentes mini-compétitions, de nouvelles amitiés naissent, des talents font surface, les candidats apprennent à se connaître. Et des histoires se racontent. Un couple qui se lance un challenge. Un jeune d’à peine 19 ans qui surprend tout le monde. Une Rodriguaise, mère de famille, qui rêve de réussir. Certains craquent sous la pression, d’autres y font face avec plus d’aplomb. Mais pour tous, il s’agit de premiers pas face à la caméra.

Alors ils ont un peu de mal à se faire, au début, aux prises de vues, cadrages, aux mises en scène, aux passages au «confessionnal», là où ils partagent leur ressenti, leurs émotions. Comment deux files de 25 personnes chacune peuvent-elles arriver en même temps à un point donné ? L’équipe de production, composée de Français et de Réunionnais, essaye de capter l’entrée la plus énergique, la plus synchronisée… The image quoi !

Et ça prend du temps, bien évidemment. Des coupures et des reprises que vous ne verrez pas lors de l’émission. Mais aussi du matériel – des caméras, une grue, un régulateur de lumière, des appareils de prise de son, des engins de close-up, entre autres – dont vous ne devinerez même pas la présence en regardant Super Chef, le samedi 6 octobre.

Vous découvrirez la déception de ceux qui partiront à l’issu de cette première journée de compétition mais aussi la joie de ceux qui resteront et dont vous suivrez les aventures toutes les semaines. Pour cela, il vous suffira de vous brancher sur la MBC 1, à 20h35, dans quelques jours et de… craquer pour cette émission à croquer.

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