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Céline Simon papote avec la gourmandise

6 octobre 2015

La jeune femme, webmarketeuse, vous lance une invitation au voyage.

À croquer. Sans modération. Un petit peu tous les jours, c’est recommandé ! Pour une petite dose de bonheur, il est impératif de faire le plein de good vibes sur le travel and food blog de Céline Simon : Je Papote (lien : http://www.je-papote.com/). Cette Française, dont la maman est mauricienne, cultive avec Maurice une relation d’amour et de gourmandise. Et elle colore son petit coin en ligne de ses voyages dans l’île : «J’essaie d’y revenir tous les ans avec mon compagnon. Nous aimons le rythme de vie mauricien. Quand on vient, on essaie de voir un maximum de choses pour en parler sur notre blog.» Au-delà de l’image de carte postale – les belles plages et le coucher de soleil –, Céline, bientôt 35 ans, vend le rêve d’une île plus riche : «Il y a tant à découvrir : la cuisine, la culture, les activités sportives (randonnées, sports aquatiques), entre autres. Et les Mauriciens, bien sûr.»

 

Cette petite plage de bonheur en ligne regorge de belles photos et d’anecdotes savoureuses. Gourmand/e ? Vos papilles saliveront devant les recettes proposées. En quelques clics, il est possible de découvrir le Rocoto Rellono et de rêver d’essayer cette recette de poivron farci, de trouver une spécialité allemande (la tarte à la rhubarbe meringuée), de se pâmer devant les cookies aux pralines roses et les pets de sœur (desserts québécois), et d’avoir envie – tout de suite – d’un rougail de saucisses, d’une soupe aux raviolis chinois (un bouillon wantan quoi) ou d’un cari gros pois. Mais aussi de (re)découvrir Maurice : la route du thé, la randonnée du Morne Brabant, les meilleures baz de snorkelling, entre autres.

 

Céline Simon dédie une ode à son pays de cœur. Là où elle revient toujours malgré ses vadrouilles aux quatre coins du monde. Avec son compagnon, Jérôme, elle partage la même passion : le voyage. Alors, c’est à deux qu’ils sillonnent des pays lointains et qu’ils y respirent toute la complexité et la beauté des cultures présentes. Pour payer ses envies d’ailleurs, celle qui vit à Grenoble est une webmarketeuse : «Prochainement, je vais quitter mon poste pour me lancer en free-lance et ainsi gagner en liberté, notamment pour voyager.» Et passer un peu plus de temps à Maurice, dans le cadre d’un projet qui attend d’être concrétisé : «Nous avons encore du travail.»

 

Ses premiers souvenirs de Maurice ? Les histoires de sa maman qui vit en France depuis plus de 30 ans, puis ses premiers pas dans l’île quand elle avait 2 ans : «Ma mère m’a emmenée à Maurice pour la première fois quand j’avais 2 ans ; c’était aussi l’occasion de me faire baptiser.» De longues journées sur la plage pendant l’enfance et l’adolescence. Des rencontres avec la famille : «Ma grand-mère, mon oncle, mes tantes et mes cousins et cousines y vivent.» Néanmoins, les visites se sont un peu espacées – à cause des études et du coût du billet – avant de devenir plus régulières à partir de 2013.

 

Mais malgré les années d’absence, son cœur est toujours attaché à Maurice. Alors, elle revient souvent pour croquer, sans modération, tous les trésors de l’île.

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