Elisa Rosse : une Miss nature

13 novembre 2016 18:09

Parce que, pour elle, le naturel revient toujours au galop, elle a choisi de prendre les devants. Pour commencer, Elisa Rosse, 26 ans, celle-là même qui avait en 2007 participé au concours Miss Mauritius, a choisi de vivre une nouvelle aventure de Miss. Cette fois, c’est à Miss Eco International Mauritius qu’elle a tenté sa chance. Il faut croire que sa bonne étoile a encore une fois brillé de mille feux puisque c’est elle qui est repartie avec la couronne suprême et donc le titre de Miss Eco International Mauritius 2016.

«Les motivations qui m’ont poussée à tenter cette expérience sont mon amour pour la nature et l’idée de participer à un concours de beauté pour une cause»,confie la jeune femme, encore sous l’émotion de son élection. Naturelle jusqu’au bout des cils, elle a pu explorer d’autres facettes de sa personnalité : «Mon meilleur moment a été mon couronnement mais j’ai adoré chaque étape de la compétition, surtout les étapes passées avec les autres candidates. Nous sommes devenues de bonnes copines.»

La militante écolo, qui travaille comme Marketing Assistantà CFAO Motors, a des rêves écologiques pleins la tête. Et le boulot commence dèsla semaine prochaine. «Je vais commencer par créer ma page officielle en tant que Misspour que les internautes puissent suivre les actions écologiques que les finalistes et moi-même allons mettre en place. Ce sera une campagne de sensibilisation digitale. Il n’y a pas meilleur moyen de communication de nos jours. C’est facile, gratuit et efficace. Bien sûr, on veut aussi être sur le terrain et organiser des journées de nettoyage dans des endroits spécifiques.» En parallèle à tous ces projets, Elisa Rosse devra se préparer pour l’Égypte où elle va concourir aux côtés des reines de beauté venant de plus de 80 pays.

Déterminée dans sa nouvelle mission, la jeune femme est convaincue que la bataille écologique est l’affaire de tous. Son message : «Réveillez-vous ! La planète ne va pas se nettoyer toute seule. On ne réalise pas à quel point on se détruit nous-mêmes en faisant du mal à la nature. Soyons responsables !»