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Gwendeline Jean-Louis, miss… bikinis

14 décembre 2016

Un soleil de feu. Une plage de sable fin et… vous, prête à vous jeter à l’eau dans le maillot de vos rêves ? Mais il n’est pas toujours évident de trouver le bikini/baigneur/trikini/shorty de vos envies. Mais ça, c’était avant. Avant de découvrir Gwendeline Jean-Louis et son super talent : fabriquer votre maillot rêvé. La jeune femme de 20 ans s’est lancée avec plus d’assiduité il y a quelque temps. Pourtant, son histoire avec les itsy bitsy teeny weeny bikini a débuté il y a quatre ans.

 

Avec un moment pas top que toutes les femmes ont connu au moins une fois dans leur vie : «J’allais à la plage pour Pâques et j’ai réalisé que je n’avais pas de maillot.» Gwendeline se connecte alors sur YouTube. Grâce aux tutorials, la vie est – presque – belle ! Avec une aiguille, du fil et un peu de tissu, l’adolescente d’alors se fait une petite chose bien sympa. Mais ce n’est pas à ce moment précis que l’idée de se lancer dans le bikini effleure cette jeune créatrice.

 

À 18 ans, elle arrête l’école – «Ce n’était pas trop mon truc», confie-t-elle –, et commence une formation dans le domaine de l’esthétique : «Puis, un jour, une amie couturière de ma maman m’a encouragée à me lancer. Elle voyait que je me débrouillais dans ce domaine.» Gwendeline lance un groupe sur Facebook, annonce qu’elle fait des maillots, poste des photos et une copine lui passe une commande : «Je me suis lancée. C’est là que tout a commencé.»Avec le temps et les commandes, elle décide de se professionnaliser, se met à la machine et décroche un contrat avec Zilwa Attitude. «Je fais du sur mesure, je personnalise les modèles d’après les demandes. Les formes, le design, les motifs, la déco, les paillettes : je suis à l’écoute.»

 

En plus, il n’y a pas de taille standard. Donc, des skinny aux curvy, toutes les femmes peuvent trouver leur bonheur dans sa petite boutique en ligne (sur Facebook, Gwen bikini création). Ses prix font également ses clientes rougir de plaisir : «Je prends Rs 300 pour la couture. Pour le reste, ça dépend de la quantité de tissu à utiliser.»Un site en ligne lui a d’ailleurs proposé d’y exposer ses créations. Mais Gwendeline se donne encore un peu de temps avant de prendre cette grande décision : «Il me faudra trouver des machines professionnelles et m’organiser en tant qu’entreprise pour me lancer.» Mais elle pense sérieusement à se jeter à l’eau !

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