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La Belle Créole : l’éveil des papilles avec Nelson Vayavery

28 juillet 2015

L’établissement propose également des soirées à thèmes.

L’air y est frais. L’atmosphère paisible. Nelson Vayavery, 39 ans, gère depuis cinq ans le restaurant La Belle Créole. À travers lequel il réunit, sous le même toit, les amoureux de la cuisine mauricienne et ceux des fruits de mer. L’établissement, situé à Pointe D’Esny, fait aussi dans l’événementiel.

 

Nelson Vayavery est un fervent amateur de la cuisine créole. Après plusieurs années en France, où il a travaillé dans le domaine de la restauration, il est revenu à Maurice en 2010 afin de réaliser son rêve : se lancer dans la gastronomie mauricienne. «Il s’agit d’un business familial, mais j’ai toujours voulu faire de cet endroit un lieu convivial et accueillant. Je n’offre pas qu’à manger. Le bien-être des clients est une de mes priorités. Je suis aux petits soins avec eux», souligne-t-il.

 

 

Dans son restaurant, «on peut manger de la bonne cuisine, fraîchement préparée. Le tout dans un environnement dépaysant. Les clients pourront apprécier leurs plats dans une ambiance musicale tout en détente», explique cet habitant du Sud. Et pourquoi La Belle Créole ? Eh bien parce qu’il existe de belles femmes dans l’île, répond le père de famille. Mais aussi parce qu’il veut faire «découvrir aux Mauriciens et aux étrangers notre culture et nos racines».

 

Depuis quelques années, cet ancien employé d’une agence de location de voitures propose également des soirées à thèmes. «Je m’occupe de tout : de l’organisation au buffet, en passant par la mise en place. En fonction du désir du client, bien évidemment», explique-t-il. De nature perfectionniste, Nelson Vayavery n’omet aucun détail : «Je fais en sorte que les soirées soient vraiment exceptionnelles.»

 

D’ailleurs, les semaines à venir s’annoncent tout en rythme avec d’autres soirées à thèmes. Nelson Vayavery annonce : «Nous allons mettre en place des soirées qui donneront la possibilité aux jeunes artistes du coin d’être sur scène. Je constate que les jeunes Mauriciens ont énormément de talent. Nous voulons contribuer à leur succès en mettant une plate-forme à leur disposition.»

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