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Laureen Viala : she’s got the Elite look !

30 novembre 2016

1m80 de beauté naturelle. Une détermination hors du commun. Son terrain de jeu : un monde de strass et de paillettes, où les diktats ne durent que le temps d’une saison. Dans cet univers où les jambes s’affichent en minijupes, où les pieds s’exhibent en escarpins vernis et où le corps se moule dans de belles tenues, Laureen Viala a trouvé une petite place de choix.

 

Voilà quelques années depuis que cette Mauricienne de 20 ans, installe en France, arpente la planète mode et ses coulisses en affrontant dignement et sans fausses notes les excès et les lumières trop crues de ce métier très exposé. N’est pas fashion qui veut ! Laureen, elle, a la chance de faire partie des happy fewqui ont su se frayer un chemin dans ce monde. «J’ai été repérée dans un supermarché en France alors que je n’avais que 14 ans. C’était en 2011, lors d’un casting d’Elite Model Look France.»

 

La jeune femme, actuellement en vacances à Maurice et qui est toujours entre deux aéroports, emploi du temps oblige, poursuit : «Je rentre de Malibu. Ce n’était pas prévu mais on m’a fait appeler et j’ai dû, le temps d’un aller-retour, interrompre mes vacances.» Tout commence pour elle alors qu’elle est encore étudiante :«À l’issue du concours, j’ai terminé parmi les 12 finalistes sur 10 000 filles. J’ai alors décroché un contrat avec Elite Milan.»

 

Si elle a le soutien de ses parents dans son choix d’explorer les possibilités du mannequinat, c’est qu’elle a d’abord dû montrer qu’elle était digne de confiance. «Pour mon père et ma mère, c’était les études avant tout. J’ai eu mon bac économique et social avec l’option sciences po avec mention en 2014. C’est après cela que j’ai pu me consacrer entièrement au mennequinat.»

 

Depuis, le sacro-saint monde de la mode n’a plus aucun secret pour elle. Elle a côtoyé les plus grands dans ce domaine.«Je voyage beaucoup de Paris, entre New York, Milan et l’Allemagne. J’ai des contrats pour des produits comestiques, des défilés haute couture et autres, et je fais aussi plusieurs shows. D’aileurs, j’ai participé à la Fashion Week de Paris et plus récemment à celle de New York.»Même si elle mène un rythme effréné entre ses nombreuses obligations, Laureen fait en sorte de garder la tête sur les épaules et les pieds sur terre.

 

«Je n’aime pas me la jouer. Ce métier, c’est pour moi une opportunité de côtoyer beaucoup de personnes. J’ai travaillé avec Gigi Hadid ou encore avec les stylistes Giuseppe Zanotti et Philipp Plein, explique la jeune femme. Pour l’instant, je profite de tout ce qui s’offre à moi. Je mets des sous de côté, tout en préparant mon avenir car je sais que le mannequinat ne durera pas pour toujours. J’ai d’ailleurs commencé une prépa de journalisme car c’est un métier que je trouve intéressant.»

 

Dans l’île pour baptiser la petite Anya, elle essaie de profier du soleil et de sa famille en attendant de reprendre sa course dans les plus grandes capitales de la mode. Tout en beauté pour écrire sa fashion story !

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