Laurine et Yulette : Beauté et «positive vibes»

Éclats de rire et de bien-être. Arriver à Optisoin, qui se trouve à Curepipe, c’est pénétrer dans un monde un peu à part. Là où on prend son temps, où on se fait chouchouter et où on s’offre un moment de détente en famille. Même si ce n’est pas la nôtre. Aux commandes de ce one stop shop pour les soins du corps et les désirs de coiffure : une mère et une fille, Yulette Chan Wai et Laurine Pierre. Entre elles, de l’amour. Autour d’elles, une véritable envie d’apporter du bonheur à ces personnes qui viennent pour un shampooing-brushing, une épilation, une pose de vernis, des soins aux algues, des soins au silicium anti-âge ou un massage des pieds… à Rs 200. Cette dernière offre est une invitation à se faire du bien. «Pour se relaxer, c’est bien tout ce dont nous avons besoin, non ?» demande Laurine. 

Et c’est ce que voulait la jeune femme quand elle a conçu ce lieu où elle évolue avec sa maman : qu’on y vienne pour se retrouver, pour s’offrir un instant pour soi. Alors, avec son équipe, elle a travaillé sur tous les détails pour qu’on se sente bien à Optisoin. Elle estime avoir la formule gagnante : des prix abordables, des produits de qualité, une équipe chaleureuse, un environnement propre et des horaires d’ouverture sympathiques (du lundi au samedi, de 8h30 à 17 heures – dimanche de fin de mois et jours fériés : jusqu’à 13 heures).

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Aux côtés de sa maman, Laurine a beaucoup appris et continue à le faire. Du coup, ça fonctionne bien entre elles au travail : «Elle a été mon mentor et quand j’ai décidé de faire ce métier, elle m’a encouragée.» Pourtant, ce n’est qu’après 12 ans passés dans les ressources humaines au sein d’une compagnie privée qu’elle a fait le grand saut : «Un jour, je me suis dit que je voulais quelque chose qui soit à moi.» Après une formation en esthétique et en coiffure, elle fait le baptême de la cire. Et même si ce moment était déstabilisant, elle y est arrivée grâce à Yulette : «Elle a toujours été de bon conseil.» 

Alors, la décision de travailler «en collaboration» – le terme utilisé est essentiel, explique Laurine – s’est faite naturellement. D’ailleurs, chacune a son espace de travail. Et son tempérament. Ce qui provoque bien des éclats de rire.