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7 septembre 2016 13:15
Quelques centimètres de tendresse, quelques grammes de bonheur… Voici Emaïa. Avec son visage d’ange, sa bouche en cœur, ses grands yeux noirs et ses magnifiques cheveux bruns, la petite est déjà une vedette. Sur Facebook, les photos de l’enfant tant attendu, fille du très connu Ludovic Lamarque, alias Mr Love, et du mannequin Emily Bauluck, attirent déjà beaucoup de «j’aime».
Qu’il s’agisse de la façon dont son chanteur de père la fait dormir – bercée par le générique de Marimarqu’il fredonne – ou encore de ses aventures à la plage, sans parler des clichés de Mr Love endormi aux pieds de sa petite princesse – pris par la maman qui s’improvise souvent paparazzi –, Emaïa Lamarque a déjà son public. Mais ses plus grands fans sont, bien évidemment, ses heureux parents qui n’arrêtent pas de crier au monde leur grand bonheur. Cela, depuis le 16 juillet.
«C’était un samedi. La veille, j’avais commencé à avoir des douleurs. C’était en fait des contractions, mais moi je ne savais pas qu’il s’agissait de ça. Comme j’avais de plus en plus mal et comme les douleurs devenaient de plus en plus persistantes, Ludo et moi sommes allés voir notre gynécologue. C’était un rendez-vous qui était prévu et, à ce moment-là, il n’était nullement question que j’accouche», confie Emily, les yeux remplis d’amour pour sa fille, au calme dans les bras de son père. Autour d’elle se dégage beaucoup d’amour.
«Ce n’est qu’une fois chez le médecin que ce dernier nous a informés de l’arrivée imminente du bébé»,poursuit Ludovic. Pris de court, le couple décide de mettre le cap sur la clinique. «La naissance était prévue pour le 20 août. C’était un peu tôt, mais il faut croire qu’Emaïa était impatiente de nous rencontrer»,raconte Emily qui se souvient qu’elle était à ce moment-là partagée entre la joie – à l’idée de donner la vie – et la douleur des contractions.
«On n’avait rien préparé. On s’était dits qu’on allait commencer avec les préparatifs une fois le concert de Ludo, qui a eu lieu au début du mois de juillet, terminé. On avait ainsi prévu de préparer la chambre, mais aussi d’acheter les vêtements. Hélas, on n’a rien pu faire. Même mon baby showern’a pu se faire. On a été pris par surprise»,poursuit la jeune maman qui, en grande sportive qu’elle est, dit avoir vécu son accouchement comme une véritable course de fond.
«On est arrivés à la clinique vers 18h30. Une heure pus tard, après avoir eu la main bien écrasée par Emily, notre bébé d’amour était avec nous»,raconte Ludovic, admiratif en regardant sa fille Marie-Louane Emaïa Lamarque tétant son biberon. «Comme je suis croyant et comme cela avait été le cas dans le choix du prénom de mon fils Loïc Joachim, je voulais aussi avoir des références bibliques dans le choix du prénom de ma fille. J’ai donc fait une contraction avec le prénom de Jésus, Emmanuel, et Emily, et je suis arrivée à Emaïa qui n’existe même pas sur Google»,explique Ludovic.
Depuis, la vie du couple a radicalement changé. Pour Ludovic et Emily, les pleurs et autres cris de la petite s’apparentent plus à une mélodie à laquelle ils se sont habitués depuis sa naissance. «Ce bout de chou est venu transformer notre quotidien. Notre fille est aujourd’hui notre centre d’intérêt, notre équilibre. Ludo et moi la considérons comme le fruit de notre amour. Nous étions habités par un grand désir de devenir parents. Finalement, notre rêve s’est réalisé», confie Emily qui considère sa «petite boulette»comme un cadeau.
Elle adore se réveiller au son de ses gazouillements et n’a de cesse de la contempler : «Elle est aujourd’hui âgée d’un mois et demi, et on fait tout ou presque ensemble. D’ailleurs, après les deux jours à la clinique, quand on est sortis, elle nous accompagnait déjà pour faire du shopping.» Aujourd’hui, ils ont trouvé leur repères. «On sait quand elle se réveille et ce qu’il faut faire. Bien sûr, on manque de sommeil, mais on s’organise. Pour les couches, ou encore pour les biberons, qu’il s’agisse de la préparation ou pour les donner, on s’est organisés et c’est à tour de rôle. Quand c’est le soir, c’est Ludo qui prend les choses en main. Le matin et durant la journée, c’est moi. Mais rien n’est fixe. On se relaie»,explique Emily.
Comme toutes les mamans, elle trouve que sa fille est la plus belle de toutes : «On peut dire que c’est une très bonne fille.»La voir grandir, faire des progrès jour après jour, ou encore son tempérament pétillant et énergique, tout cela la comble de joie : «Je sais qu’elle sera une hyperactive comme moi.» Quand elle la regarde dormir, il y a certains signes et certaines mimiques qui font tout de suite penser à Ludovic : «Comme son père, elle dort la bouche ouverte, mais je dois aussi avouer qu’elle rote également comme lui.»
Ludovic, de son côté, estime qu’Emaïa, qui comme eux fera peut-être bientôt ses premiers pas dans le showbiz avec un éventuel projet de publicité, est la copie conforme de sa mère :«Elle a les yeux et le nez de sa mère. Je préfère d’ailleurs.» Tous deux, qui respirent au rythme d’Emaïa, ne peuvent s’empêcher d’être impressionnés quand ils regardent leur fille. Ils vivent intensément chaque minute passée avec elle.
Et les parents très fiers n’arrêtent pas de câliner, d’embrasser et de dévorer des yeux leur petit amour tombé du ciel.
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