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10 septembre 2018 14:01
Ah, ces adolescents et enfants américains ! Ils tombent toujours sur des trucs qui semblent venir d’un autre monde. Dans les années 80, il y avait le petit qui rencontrait l’E.T. qui voulait «téléphoner maison». Puis, il y en a eu d’autres, comme ces pauvres enfants de Super 8 qui faisaient face à un alien après le déraillement d’un train. Sans oublier le jeune qui découvrait un géant de fer dans… Le Géant de fer. Plus récemment, les enfants de Stranger Things devaient sauver l’un des leurs, pris dans une dimension parallèle avec des êtres pas très commodes. Justement, ce Kin : le commencement est produit par Shawn Levy, réalisateur de La nuit au musée et Real Steel, qui a aussi produit les deux saisons de Stranger Things.
Dans Kin : le commencement (on sent déjà qu’il y aura des suites avec ce titre), un jeune de Detroit découvre, dans une usine désaffectée, un super fusil de la mort qui a probablement des origines extraterrestres… ou pas. N’empêche, l’adolescent sera bientôt poursuivi par le FBI, des criminels ainsi que d’étranges petits bonshommes qui ont l’air d’être des fans de Daft Punk. Aidé de son frère et d’une jeune femme, le garçon va essayer de comprendre tout ce qui est en train de se passer.
Voici un film qui surfe sur une vague très années 80, très tendance depuis le succès de la série Stranger Things. Et l’on ne peut que penser à un long pilote (premier épisode) d’une série en regardant cette réalisation des frères Baxter (Josh et Jonathan, qui mettent en scène leur premier film). Ce Kin : le commencement semble poser les bases d’une franchise, sorte de Terminator plus teenager, avec un fort accent années 80. De quoi passer un bon moment (il y a pas mal de péripéties) mais rien qui va vous laisser un souvenir impérissable.
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