Star Trek Sans Limites : SOS d’un vaisseau en détresse

Attachezvos ceintures ! Décollage immédiat dans vos souvenirs (si vous en avez des premiers Star Trek, petits Trekkiesva). Sinon, prenez un petit shoot d’apesanteur (non à la drogue synthétique – ceci est un message d’intérêt public) et laissez parler le fan de SF qui fait enn ta tapazen vous. Avec ce dernier épisode en date du rebootde la saga Star Trek (ST), vous allez retrouver, selon les critiques, ce qui faisait que la série originelle (en couleur fade et effets spéciaux approximatifs) soit inoubliable : de l’humanisme sans cynisme (si vous vous demandez comment on peut faire de telles envolées sentimentales dans un vaisseau tout moche, dites «yeah»). Après cet instant d’incompréhension, rassurez-vous, ST est un blockbuster. Pas un ovni incompréhensible (genre cinéma d’auteur : arrgggghhh !).

Alors que raconte ce film totalement identifiable : une épique aventure de l’USS Enterprise et de son audacieux équipage, qui explorent les confins dan nwarde l’espace. Ça fait trois ans (justement trois ans après le précédent film : malin !) que la bande au capitaine Kirk (un Chris Pine qui a perdu de sa bogossitude : snif) surfe entre les étoiles, s’approche et s’éloigne du soleil dans une danse caliente, caresse les anneaux des planètes (ouh, c’est chaud !) pour un voyage intergalactique dont on ne connaîtra pas grand-chose. Alors on extrapole. Le vaisseau arrivé à la station spatiale avancée Yorktown reçoit un appel SOS d’un vaisseau en détresse. Ça sent la menace fantôme ? Bon d’accord, ça, c’est une autre saga !

La question qui se forme sur vos lèvres ébahies et tremblantes d’impatience : est-ce que le pas beau gosse capitaine Kirk, le commandant oreille en avant Spock (Zachary Quinto), le docteur McCoy (Karl Urban) et tout l’équipage de l’USS Enterprise devront se coltiner une mission dangereuse et périlleuse ? Ne retenez pas votre souffle, on vous donne la réponse : bien sûr (sinon, il n’y aurait pas de film). Reste à savoir comment ils vont s’en sortir. Mystères et déchets de l’espace. Mais on vous dit quand même, sur le ton de la confidence (parce que vous le valez bien) : les scènes de boum badaboum sont au top et le scénario et l’intrigue rappellent les vieux Star Trek(alors pas d’immenses surprises au programme, comme l’utilisation d’une nouvelle arme : le jet d’ailes… de poulet).

Alors attachez vos ceintures et dégustez du SF… sans modération.