Il n’y a pas que le boum. L’orgasme, c’est top ! Mais ce n’est pas la seule chose apaisante dans la sexualité ; donc, on peut se sentir bien sans avoir joui. L’étude d’un psychologue américain, Stuart Brody, publiée dans Biological Psychology, le démontre. 24 femmes et 22 hommes ont noté pendant deux semaines leurs ressentis après les jeux d’amour (pénétration, masturbation, pratique orale…). Le résultat : les personnes s’étant amusées étaient moins stressées (ceux et celles ayant fait l’amour avec pénétration étaient encore plus au top).
Une question d’hormone. Au moment du grand huit, le corps sécrète de l’ocytocine, l’hormone de l’attachement, qui apporte un sentiment de douceur et de tendresse. Un moment pour dire «ouf» dont on a bien besoin en ces grands moments de stress. Dans toutes ces hormones qui sont en mode libérées, délivrées quand vous faites crac-crac, il y a de la dopamine, hormone du plaisir qui apporte énergie et euphorie. Il y a de la sérotonine aussi pour un profond sentiment de bien-être. Et il y a de l’endorphine pour un état de relaxation au top.
Votre cœur vous dit merci. Le muscle, oui (pour le petit dessin rouge trop mignon, ce sera un autre registre). Faire l’amour aide le cœur, facilite la stimulation du système circulatoire et aide à mieux alimenter les organes. Et ça, ça fait du bien ! Ça permet d’être en tip-top forme.