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«Malad la tet» : l’histoire d’une maison marrante

10 juillet 2025

Les répétitions allaient bon train avant le jour J.

Une adaptation mauricienne qui risque de beaucoup faire rire. Ce 6 juillet, à 18h30, au Caudan Arts Centre, se tient l’unique (pour le moment) représentation de cette pièce qui adapte La vie de chantier de Dany Boon – qui l’a aussi adaptée au cinéma avec le film La maison du bonheur. Une adaptation mauricienne qui nous parle d’un monsieur radin qui veut offrir une maison rénovée à sa femme comme cadeau d’anniversaire de mariage. C’est un entrepreneur un peu particulier qui s’occupera des travaux, et comme vous le devinez, le tout partira en vrille ! Tout un programme avec, au casting, des têtes connues comme Raj Gokhool, Christelle Sophie, Edeen Bhugeloo, Michella Louise et Vincent Bernard. Ce dernier, qui est un peu l’instigateur du projet, nous en dit plus…

**Les débuts de «Malad la tet» **

«Le projet est venu en regardant une pièce à succès formidable de Dany Boon qui s’appelle La vie de chantier, qui a même donné naissance à un film. Je me suis dit qu’il y avait matière à s’inspirer pour en faire une adaptation mauricienne et c’est à ce moment-là que j’ai eu l’idée de faire appel à un metteur en scène d’expérience et ami, Raj Gokhool. Des idées de scènes sont assez vite apparues, puis plusieurs et on s’est dit qu’il y avait de quoi proposer une belle comédie grand public. Sur scène, il y aura de beaux moments de rigolades, du moins on l’espère, avec beaucoup de quiproquos, des personnages stéréotypés, des belles engueulades et même un peu de chant… »

**Le casting **

«On voulait faire appel à des comédiens aux parcours et styles différents avec Raj Gokhool, Edeen Bhugeloo, Michella Louise et moi-même. Je souhaitais aussi intégrer ma moitié qui avait déjà vécu une première expérience sur scène à mes côtés, Christelle Sophie. Ce casting mêle des approches artistiques différentes de la scène théâtrale et c’est ce que je cherchais.»

Et après ?

«Pour le moment, les esprits sont focus sur Malad la tet. Tout cela prend énormément de temps et il faut donner beaucoup de soi lorsqu’on construit une pièce. Cela dépendra de la disponibilité de tout le monde, mais l’envie est là de rempiler pour une autre pièce. Ce qui est certain, c’est qu’on nous reverra tous prochainement. Pour moi, personnellement, plusieurs projets sont déjà en cours, et plein d’autres idées et envies sont présentes.»

Billets en vente à Rs 450 en vente au Caudan Arts Centre et sur le site de celui-ci (http://www.caudanartscentre.com).

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