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Stacy Woo

Modeuse dans l’âme

18 septembre 2025

La jeune femme nous dévoile son petit monde. (Outfit : Tally Weijl Mauritius, Doll Up Boutique ; Makeup Artist : Akhil Tooree, Suffiyah de Mac Cosmetics Mauritius.)

Avec un esprit créatif et une passion sans limite, elle avance déterminée sur la planète mode. Celle qui travaille sur le rêve d’ouvrir sa propre boutique nous ouvre son cœur et nous parle de ses projets hautement fashion...

C’est l’histoire d’une fashionista et de ses projets qui défilent... Car son terrain de jeu préféré, c’est la mode. Et depuis qu’elle évolue dans cet univers, elle explore toutes les possibilités qui se présentent à elle.

Il y a quelque temps déjà, elle était l’un de nos «coups de cœur», dans la rubrique du même nom, et elle nous racontait comment son rôle d’influenceuse avait pris une place importante dans sa vie. «Mon expérience en tant qu’influenceuse joue un rôle crucial dans le monde du marketing numérique. Je fais référence au parcours global et à l’interaction avec les marques, les produits et les campagnes. Mon amélioration de l’expérience est essentielle car elle a un impact direct sur le succès des stratégies de marketing d’influence. Une expérience positive peut conduire à une motivation, une fidélité et une volonté accrues de collaborer avec les marques. Lorsque je me sens valorisée, soutenue et respectée, je suis plus susceptible de créer du contenu de haute qualité, d’interagir avec le public et de promouvoir la marque de manière authentique», nous confiait-elle alors.

Depuis, elle n’a pas chômé et a continué à se dépasser. «Depuis notre dernier entretien, ma carrière a connu une évolution significative. Mon travail a gagné en visibilité internationale, notamment à La Réunion. J’ai également décroché des contrats plus importants avec des entreprises nationales, ce qui est une évolution passionnante. Mon amour pour la mode continue de me motiver et je suis impatiente de relever de nouveaux défis et de saisir de nouvelles opportunités.»

Son parcours dans le mannequinat a également évolué, souligne-t-elle : «J’ai travaillé avec des marques comme Grays pour Tafel “LAFET” sur des campagnes publicitaires. J’ai également eu le privilège de défiler pour le défilé de FDI à Casela. Et de poser pour le Metro Express Magazine aussi. En tant qu’ambassadrice de Tally Weijl Mauritius, je suis fière de représenter ces marques. Et je suis absolument ravie d’annoncer que j’ai été sélectionnée comme mannequin internationale pour des magazines et des magasins à l’île de la Réunion. Quelle opportunité incroyable de présenter mon travail au-delà de Maurice...»

C’est donc en dehors de son île natale que Stacy, qui participe régulièrement, précise-t-elle, à des événements privés exclusifs pour Coca-Cola, Huawei, Mac, Springfield, House of Janaan, Tam’s Closet, ou encore Medusa Jewelry, cultive encore plus sa passion. «J’ai eu l’occasion de me rendre à l’île Sœur où j’ai rencontré un représentant d’une grande entreprise, et nous avons collaboré sur un projet qui a été une expérience formidable. Je vais donc collaborer avec eux sur plusieurs campagnes, dont une importante campagne de communication. Je participerai également à un événement dans un salon de beauté que j’attends avec impatience. De plus, très bientôt, je me rendrai en Inde pour des défilés de mode. C’est une période passionnante pour ma carrière et je suis reconnaissante de ces nouvelles opportunités.»

Évolution

Au moment où tout semble lui sourire, nous demandons à Stacy si c’est possible de nos jours de gagner sa vie en tant que mannequin. À cette question, la jeune femme nous répond que sa détermination l’aide beaucoup à faire son chemin et à se bâtir une réputation : «Il est tout à fait possible de gagner sa vie en tant que mannequin aujourd’hui. Cependant, cela exige du dévouement, une autopromotion stratégique et de solides compétences en communication. En construisant un réseau solide, en interagissant avec mon public et en saisissant les opportunités, j’ai pu non seulement subvenir à mes besoins, mais aussi prospérer dans ce secteur. En tant que mannequin, j’ai pu ouvrir de nouvelles portes et saisir de nouvelles opportunités, et je suis heureuse de l’évolution de ma carrière.»

C’est en suivant ce qui se fait à l’international qu’elle puise son inspiration. «Mon modèle dans le monde du mannequinat est Adriana Lima. J’ai toujours admiré son travail, notamment ses apparitions emblématiques sur le podium de Victoria’s Secret. Ce qui me touche chez elle particulièrement, c’est sa capacité à mettre en valeur son héritage et sa beauté à l’échelle internationale. Ayant des origines ethniques similaires, je trouve son parcours véritablement inspirant. Sa confiance en elle, son assurance et son dévouement à son métier sont des qualités que j’aspire à reproduire dans ma propre carrière.»

Toujours avide de vivre de nouvelles expériences, la jeune femme travaille dur, dit-elle, pour ajouter une nouvelle corde à son arc : «J’ai toujours été passionnée par la mode et le design. Je suis ravie d’annoncer que je prévois d’ouvrir ma propre boutique l’année prochaine, dans laquelle je présenterai mes créations. Cette nouvelle aventure me permettra d’exprimer ma créativité et de partager mon point de vue unique avec mon public. J’ai hâte de donner vie à ma vision et d’avoir un impact durable dans l’industrie de la mode.»

Si elle se donne les moyens de réaliser ses rêves, Stacy souligne que rien n’est facile et qu’il lui faut beaucoup s’investir pour pouvoir avancer et s’épanouir. «Je crois qu’être un jeune entrepreneur peut être incroyablement gratifiant, mais cela exige du dévouement et du travail acharné. Pour moi, bénéficier d’un solide réseau de soutien et nouer des contacts avec les bonnes personnes a été crucial. Nouer des relations avec des entrepreneurs compétents qui comprennent ma vision et mes objectifs m’a aidée à naviguer dans le secteur et à saisir les opportunités. Avec de la persévérance et un accompagnement adapté, je pense que les jeunes entrepreneurs peuvent connaître du succès», conclut la jeune femme, une modeuse dans l’âme...

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