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Dagger Kkila contre la pédophilie

16 juin 2020

L'artiste, encouragé par ses musiciens, veut conscientiser de fort belle manière.

Le sujet

 

«Le sujet s’est imposé de lui-même et j’ai été très encouragé par mes musiciens. La pédophilie est quelque chose de complexe mais dont il faut à tout prix parler. Elle est présente dans toutes les classes de la société. Mais les choses peuvent être plus graves pour les enfants qui sont livrés à eux-mêmes, souvent dans la rue. Il faut dénoncer, ne pas rester tranquille, ne pas avoir peur d’en parler. Ce single est né d’un désir de prévenir, de dire aux gens d’être vigilants. Mais il y a aussi un effort de conscientisation car une victime de pédophilie doit vivre avec d’énormes cicatrices. Et les cicatrices touchent aussi les familles, ce qui est doublement grave.»

 

La chanson

 

«Nous avions mis ce projet en place avant le confinement. Mais il a fallu le mettre en suspens. Aujourd’hui, on est tous déterminés. Musicalement, on a bien canalisé nos énergies. On reste dans mes styles de prédilection, le seggae et le reggae, mais on a voulu apporter de nouvelles touches, comme de l’afro-beat avec Maurice Manancourt à la batterie.»

 

La suite

 

«Pour le moment, il faut passer le message. Et cela se fait à travers la diffusion du morceau sur les réseaux sociaux, YouTube, et celui-ci est aussi disponible en téléchargement légal sur les plateformes concernées. On va mettre le paquet pour que le message social passe. Et, par la suite, s’il y a une demande, nous pourrions envisager un clip.»

 

L’équipe du single

 

«Elle est composée de Maurice Manancourt, Didier Baniaux, Pascal Ramchurn, Kevin Larubarbe, Jean Marie, Phillip Thomas, Véronique Boncoeur et Kersley Pytambar. Darriana et Cynthia Amerally font les chœurs.»
 

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