Publicité

Il sort «La Terre» : Manu Desroches et le défi du premier single

30 janvier 2024

Le projet : «C’est vrai que j’ai pris mon temps avant de sortir mon premier single (rires). Mais ça a été tout un cheminement, depuis que j’ai commencé. Je devais avoir 13-14 ans quand j’ai commencé à jouer dans le restaurant Chez Pépé, à Flic-en-Flac. Puis, il y a eu une résidence de trois mois en Inde pour le festival de rock Aqua Jam. Je crois que c’est là que je me suis rendu compte que j’allais faire de la musique pour le reste de ma vie. Et bien sûr, au fil des années, pendant que je jouais avec tellement d’artistes d’ici et d’ailleurs, et que je participais à plusieurs spectacles, il y avait toujours cette envie de sortir un single, de composer. En même temps, je voulais trouver les bonnes personnes avec qui travailler et, bien sûr, des sujets qui me tiennent à cœur.» 

 

Le single et le clip : «Mon premier single est donc La Terre, où on va me découvrir en tant que musicien, mais aussi en tant que compositeur, arrangeur et producteur. J’ai voulu commencer avec La Terre (voir plus loin), car il met en avant ce problème grave qu’est la négligence de l’humain dans son rapport à la nature. Et c’est la vision du film Home de Yann Arthus-Bertrand, qui m’a confirmé dans ma démarche pour la chanson La Terre. C’est un film qui a été une claque pour moi, qui m’a laissé sur le c… C’est un peu ce que j’ai voulu traduire avec La Terre. Et pour le clip, il fallait trouver quelqu’un qui puisse traduire tout cela en images. Et je suis tombé sur Fabrice Etienne, talentueux vidéaste rodriguais, dont vous pouvez maintenant voir tout le talent dans le clip de la chanson.» 

 

La suite : «La Terre n’est qu’une première étape. Je lancerai par la suite un deuxième single, dont je n’ai toujours pas le titre, très probablement en mars, le temps de le peaufiner. Ensuite, on va passer à la vitesse supérieure, avec un EP de six titres qui devrait arriver en juin. Six morceaux qui viennent d’une seule et même période d’inspiration, mais qui sont tous un peu différents, qui ne parlent pas forcément du même sujet. On peut dire qu’en somme, je parle de la société, de l’humain dans sa globalité, ce qui est très vaste. Idem pour les styles musicaux, pour lesquels le mot fusion semble le plus approprié.»

Publicité