Leur gourmandise à elles ? C’est la couronne de Miss Ronde Maurice qui leur fait envie. Les 16 finalistes n’ont qu’une chose en tête : repartir avec le titre ! En attendant de connaître le nom de la gagnante, lors de la finale prévue le 11 mai au club Amnezia, à Ébène, zoom sur ces belles rondes…
Valérie Rajah : la miss Sourire
En quelques mots. À 24 ans, cette habitante de Vacoas est éducatrice dans une école spécialisée.
Sa motivation. Participer à ce concours n’était, au début, qu’un jeu. Désormais, il s’agit d’un défi personnel et de la volonté de faire passer un message : «Je veux encourager d’autres filles rondes à s’assumer pleinement.»
Son truc en plus. «Mon sourire. Car il met de la joie dans le cœur des autres. C’est ma plus belle arme», exprime Valérie.
Emilie Laïda : «J’aime tout chez moi !»
En quelques mots. Elle vient de Trou-d’Eau-Douce, elle a 25 ans et est formatrice.
Sa motivation. Crier au monde qu’elle n’a pas honte de se mettre en valeur : «Je pourrais faire réagir les personnes qui sont complexées.»
Son truc en plus. «J’aime tout chez moi ! Mais s’il faut choisir, je dirais mes seins et mes hanches, car ils me donnent du volume», explique Emilie.
Sarah Dusmohamud : sensualité
En quelques mots. Assistante chef d’équipe dans une compagnie privée, la jeune femme de 24 ans vient de La-Tour-Koenig.
Sa motivation. Cette fashionista, encouragée par son fiancé, veut «promouvoir la femme ronde».
Son truc en plus. «J’adore mes yeux, car ils me permettent d’exprimer toute ma sensualité», confie Sarah.
Cynthia Tong : les yeux dans les yeux
En quelques mots. À 26 ans, cette habitante de Beau-Bassin est Groups & Incentives Coordinator chez Connections.
Sa motivation. Elle souhaite être une «porte-parole de la femme mauricienne, qu’elle soit ronde ou pas, jeune ou pas» : «Ma motivation première est de promouvoir l’avenir de la femme bien dans sa peau, féminine et épanouie.»
Son truc en plus. «Mes yeux, car ils sont le reflet de mon âme», partage Cynthia.
Sabrina Morel : «Faire honneur aux rondes»
En quelques mots. Cette femme de 32 ans, maman de trois fils, travaille à son compte et habite à Forest-Side.
Sa motivation. Participer à un concours de beauté : «Je fais honneur aux belles femmes rondes de Maurice. Je souhaite qu’elles s’assument et se trouvent belles.»
Son truc en plus. «J’aime mon visage et mes cheveux. Ce sont deux choses que je peux moduler au gré de mes envies», déclare Sabrina.
Daphnée Etiennette : «Belle sans être vulgaire»
En quelques mots. Medical Claims Handler dans une compagnie d’assurances, la jeune femme a 23 ans et habite Roches-Brunes.
Sa motivation. Faire changer les mentalités : «Je veux prouver qu’en étant rondes, nous pouvons être simples, belles, attirantes et sexy, sans tomber dans la vulgarité.»
Son truc en plus. «Ma poitrine et mes yeux. Mes deux atouts», selon Daphnée.
Magda Michaud, zoom sur les lèvres
En quelques mots. Elle est agent de sécurité dans une compagnie privée, a 29 ans et vient de Bambous.
Sa motivation. Elle veut faire taire les moqueries, afin de faire disparaître la «masse de honte» : «Ce n’est pas parce que nous sommes grosses que nous ne pouvons pas être de très belles femmes.»
Son truc en plus. «Mes lèvres… parce que j’aime bien sourire», confie Magda… avec le sourire !
Elsa Macka : «Mes rondeurs sont mes atouts»
En quelques mots. à 23 ans, cette habitante de Cité-La-Cure étudie la communication et est chargée de clientèle dans le privé.
Sa motivation. Assumer son corps : «Même s’il n’est pas toujours simple de s’assumer dans un monde où la minceur fait partie des canons de la beauté, j’estime que mes rondeurs sont mes atouts.»
Son truc en plus. «Mon visage, car il reflète mes émotions et mes sentiments», confie Elsa.
Christelle Appadoo : un regard qui en dit long
En quelques mots. Elle habite Vacoas, a 29 ans et est manager chez C&C Catering Service Ltd.
Sa motivation. Elle veut afficher son bien-être : «Je suis convaincue que, rondes ou minces, nous avons toutes le droit d’être jolies et de croquer la vie à pleines dents.»
Son truc en plus. «Mes yeux parce que c’est la partie la plus expressive du visage. Grâce à eux, on peut tout dire», estime Christelle.
Anaïs Paul : une question de taille
En quelques mots. à 20 ans, Anaïs est étudiante en psychologie à la Middlesex University. Elle vient de Quatre-Bornes. Sa motivation. Encourager les autres : «Ça ne vaut pas la peine de ne pas s’accepter. Il faut avoir confiance en soi.»
Son truc en plus. «Ma taille. Parce qu’elle est très marquée et met, donc, en valeur mes hanches et mes fesses», explique Anaïs.
Samantha Raphael : ça décolle !
En quelques mots. Coiffeuse et employée dans une agence de communication, elle a 23 ans et habite Curepipe.
Sa motivation. Partager sa positive attitude : «Avoir des kilos en plus, ce n’est pas la fin du monde. Ça n’empêche pas d’être épanouie.»
Son truc en plus. «Mes seins. Ils sont beaux et naturels. Et dire que certaines femmes payent pour en avoir !» confie, avec humour, Samantha.
Noella Orange : ne plus être complexée
En quelques mots. Elle vient de Curepipe, a 26 ans et est enseignante.
Sa motivation. Se surpasser : «Je ne veux plus être complexée, c’est pour cela que j’ai décidé de participer à cette aventure.»
Son truc en plus. «Mes jambes et mes pieds, car je suis debout grâce à eux !» dit-elle.
Wendy Amboolam : «On a une seule vie»
En quelques mots. La jeune femme de 27 ans vient de La-Tour-Koenig et est réceptionniste et téléagent chez Sodibur.
Sa motivation. Elle a décidé de ne plus se prendre la tête et de s’aimer comme elle est. Alors, ce concours lui donne des ailes : «On a une seule vie. Il faut en profiter et ce ne sont pas les complexes qui vont nous stopper.»
Son truc en plus. «Chaque partie de mon corps. J’aime tout, car c’est ce qui fait qui je suis», témoigne Wendy.
Vishma Juste : se mettre en valeur
En quelques mots. Maman de deux enfants, Vishma est une femme au foyer de 33 ans et habite Bambous.
Sa motivation. Se mettre en valeur : «Comme je suis une femme au foyer, je me suis dit que c’était le moment de faire quelque chose pour moi, pour montrer au monde que je me sens belle.»
Son truc en plus. «Mes seins et je n’hésite pas à les mettre en valeur», affirme Vishma.
Elodie Michaud : surmonter sa timidité
En quelques mots. À 21 ans, cette habitante de Beau-Bassin
est assistante.
Sa motivation. Se découvrir et s’assumer : «C’est aussi pour m’accepter comme je suis et afin de surmonter ma timidité et ma peur de parler devant une foule de personnes.»
Son truc en plus. «Mon visage. Je trouve que j’ai un joli visage et un beau sourire», déclare Elodie.
Claudette Legoffe (Miss Ronde Rodrigues) : «Valoriser les femmes rondes»
En quelques mots. À 28 ans, cette habitante de Rivière-Coco est coiffeuse.
Sa motivation. Elle souhaite «valoriser les femmes rondes».
Son truc en plus. «Mes fesses. Elles mettent en valeur ma silhouette», confie-t-elle.