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12 janvier 2025 00:35
Il n’y a pas de fumée sans feu, selon la fameuse expression. Celle-ci s’appliquerait-elle au JMLS Equestrian Centre à Petit-Gamin ? Le centre de Jean-Michel Lee Shim (JMLS) n’arrive pourtant à se défaire de la réputation de maltraitance qui lui colle à la peau. Déjà, en marge de la saison, des accusations de présumé lynchage de deux travailleurs sri-lankais avaient circulé sur les réseaux sociaux, démenties par la Global Equestrian Ltd (GEL).
Un peu plus tard durant l’année, les images d’un coursier buvant de l’eau de pluie s’infiltrant d’une toiture, même si elles n’ont pu être authentifiées comme provenant de Petit-Gamin, tout comme des boxes de chevaux où la literie était manquante voire insuffisante, sont autant de facteurs qui plombent la réputation du centre de JMLS. Dernier épisode en date : le cas Gordonstoun, où la GEL, gestionnaire du centre, ne serait pas exempte de tout reproche. Arvin Boolell, le ministre de l’Agro-industrie, de la Sécurité alimentaire, de l’Economie Bleue et de la Pêche semble en tout cas le penser. Il a même mis en suspens l’importation de chevaux en attendant d’y mettre bon ordre. Une chose est sûre : cette affaire n’est pas près de se tasser.
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