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Par Cloé L'aimable
21 juin 2025 10:28
La perte de cheveux peut parfois être une épreuve difficile, tant sur le plan physique que psychologique. Calvitie, chute progressive ou soudaine… ces situations sont souvent mal vécues. Chez l’homme comme chez la femme, elles peuvent provoquer un profond sentiment de vulnérabilité, allant jusqu’à affecter l’estime de soi. À l’occasion de la Journée mondiale du bien-être, la clinique New Hair Graft met en lumière ses services de restauration et de transplantation capillaire. L’objectif ?Redonner le sourire aux patient(e)s, mais aussi briser le tabou qui entoure encore cette pratique, pourtant porteuse de mieux-être.
On s’efforce de chercher la perfection… Mais parfois, c’est face au miroir que l’on se sent le plus vulnérable. La perte des cheveux va bien au-delà de la perception commune d’un simple phénomène lié au vieillissement. Elle peut survenir à tout âge, chez les femmes comme chez les hommes, et découler de nombreux facteurs : le stress, les déséquilibres hormonaux, une intervention chirurgicale, un accouchement, certains traitements médicamenteux, des coiffures trop serrées ou encore des soins capillaires agressifs.
Si pour certains, cela peut sembler anodin, pour d’autres, la perte de cheveux devient une source réelle de souffrance. L’apparition de la calvitie peut engendrer un profond mal-être psychologique, affectant l’image de soi et l’estime personnelle. Se sentir moins attirant, moins confiant, ou même jugé par le regard des autres, crée un véritable fardeau émotionnel. Cette sensation d’impuissance face à un changement physique souvent soudain est difficile à vivre et peut toucher toutes les sphères de la vie.
C’est justement en comprenant ces impacts silencieux que New Hair Graft a développé une approche différente : une approche médicale, fondée sur l’écoute, l’empathie et le bien-être global du patient. Grâce à la greffe capillaire, il ne s’agit pas seulement de restaurer une chevelure, mais de redonner confiance, de raviver une lumière intérieure et de permettre à chacun de se réapproprier son image avec dignité et sérénité. «La perte de cheveux est une réelle source de mal-être, voire de souffrance, pour de nombreux adultes. Pour eux, la restauration capillaire dépasse l’esthétique : elle participe au bien-être mental. Elle s’inscrit pour nous dans une approche médicale intégrée, dont l’objectif est d’aider chaque patient à retrouver confiance en lui et à ne plus redouter son reflet dans le miroir», explique le Dr Arthur Movsisyan, fondateur de New Hair Graft.
Les cheveux sont très importants dans la perception de soi. Ils sont souvent associés à la jeunesse, à la beauté et même au statut social. La dermatologue Dr Conhyea Anuradha confirme : la perte de cheveux est un phénomène fréquent, souvent lié à des facteurs génétiques, à des carences nutritionnelles ou encore à certaines maladies. Quelle qu’en soit la cause, l’alopécie peut avoir des répercussions importantes sur le bien-être global de la personne : peur du regard des autres, baisse de l’estime de soi, voire symptômes dépressifs. Il est donc essentiel de ne pas négliger les signes et de consulter dès les premières préoccupations.
Mais comment se passe une greffe capillaire ?
Eh bien, le parcours de soin débute par une consultation médicale avec l’un des deux spécialistes. Cette première évaluation permet de déterminer les soins les plus appropriés. Selon le Dr Daoud Ingar, fondateur de New Hair Graft, tout commence par une étape : l’extraction. Cette phase, aussi technique que délicate, consiste à prélever les unités folliculaires une à une à l’aide d’un punch de 0,7 à 0,8 mm de diamètre, monté sur un outil motorisé spécialement conçu pour ce geste de précision.
Cette méthode permet de préserver l’intégrité des follicules tout en évitant les cicatrices visibles. Vient ensuite l’étape de l’implantation des greffons, là où la science rencontre l’art. De petites incisions sont réalisées dans la zone à transplanter, en respectant avec soin l’angle d’implantation, le sens de pousse naturel des cheveux, ainsi que leur densité d’origine. Les greffons sont ensuite délicatement insérés dans ces incisions avec une extrême précision. Généralement, les premiers résultats visibles apparaissent au bout de six à neuf mois après l’intervention. Le suivi médical s’étale sur une période pouvant aller jusqu’à 12 mois.
Les bénéfices psychologiques d’une greffe de cheveux sont nombreux :
– Amélioration de la confiance en soi : les patients rapportent se sentir plus sûrs d’eux, que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle.
– Réduction de l’anxiété : les préoccupations liées à l’apparence diminuent drastiquement après l’intervention.
– Renforcement des relations sociales : une meilleure estime de soi facilite les interactions sociales et renforce les liens avec les autres.
Cependant, malgré les résultats de la greffe capillaire, elle reste encore taboue de nos jours. C’est pourquoi la Journée mondiale du bien-être représente une opportunité précieuse pour briser le silence autour de cette pratique et encourager une parole libérée, sans jugement. «Savez-vous que 25 % des personnes ayant recours à une greffe capillaire sont des femmes ?» souligne le Dr Daoud Ingar.
Il est temps de déconstruire les idées reçues. La perte de cheveux, qu’elle soit progressive ou soudaine, ne devrait jamais signifier une perte d’estime de soi. Elle touche toutes les générations, tous les genres et ne se résume pas à une simple question d’apparence.
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