Mesdames et messieurs, votre commandant Annabelle Fleury vous souhaite la bienvenue à bord de ce vol à destination de Paris, la capitale de la mode, pour faire de belles découvertes fashion… Attachez vos ceintures car ça démarre à cent à l’heure !
Elle est envoûtante, romantique, monumentale. Elle est fascinante, fashion et complètement magique. Entre monuments, musées, boutiques, parcs et gastronomie, Paris a de tout temps fait tourner les têtes. De par son histoire, elle intrigue, inspire… Et ce n’est pas la styliste Annabelle Fleury qui dira le contraire. Car pour les dix ans de son label Oriya, elle transporte qui le veut dans cette ville lumière où l’amour règne en maître.
«La collection La Parisienne nous emmène à Paris, capitale éternelle de la culture, de la liberté et de la mode. J’ai puisé mon inspiration à la fois dans ce véritable musée vivant qu’est Paris et chez cette muse éternelle de l’imaginaire collectif qu’est la Parisienne», explique la jeune femme. Au fil des années, elle a su démontrer toute l’étendue de son talent de créatrice. Et pour sa nouvelle collection, elle rivalise encore une fois d’originalité et propose, dans ses nouvelles tenues, une ligne géométrique avec un jeu de lignes droites, de parallèles et d’angles.
«À l’occasion des dix ans d’Oriya, cette année, j’ai voulu marquer le coup en proposant une collection qui sort vraiment de l’ordinaire. Elle est différente parce que déjà, le shooting a été réalisé à Paris. J’ai choisi Paris parce que c’est la ville qui m’a accueillie pendant mes années d’études et elle est tellement enrichissante, tant par sa culture que par son mode de vie. L’équipe avec laquelle j’ai travaillé était aussi différente, c’était intéressant de voir l’univers du photographe, du mannequin, de la maquilleuse/coiffeuse», explique la jeune femme, fière de son parcours. «Ces dix ans ont, pour moi, passé très vite. J’ai réalisé plusieurs collections et projets, et j’ai encore de longues années devant moi. Ce sont dix années de dur labeur, durant lesquelles j’ai toujours gardé la passion du travail. Ce que je retiens, c’est qu’il faut aller au bout de ses ambitions, peu importe les difficultés.»
Et c’est à l’amour qu’elle carbure et qu’elle crée : «J’ai privilégié les matières brillantes dans les couleurs argent et or. L’argent rappelle la structure métallique de la dame de fer et l’or fait référence à cette Tour Eiffel scintillante à la nuit tombée, tel un joyau étincelant de la capitale. Je me suis aussi inspirée de la splendide ornementation du pont Alexandre III à Paris, réputé pour être richement décoré et surplombé de statues dorées. J’ai fait ainsi ressortir, dans cette collection, un montage ornemental composé de fines bandes dorées placées au sein d’un même vêtement.»
Pour visualiser ce qu’elle propose, Annabelle Fleury donne rendez-vous à qui le veut sur son site, www.oriya.mu, là où sa collection se dévoile, se raconte et où elle affiche également sans démesure son amour pour… Paris.