The Cake Fairy : la touche magique de Neha Katti

Quelques ingrédients de qualité et une grosse dose d’amour. Pour Neha Katti, c’est la recette gagnante de The Cake Fairy. Cette jeune femme, originaire de Mumbai en Inde, installée à Maurice depuis quelques années, s’est récemment lancée à son compte avec une pâtisserie à domicile. Pour elle, c’est un rêve devenu réalité.

The Cake Fairy, explique-t-elle, est née d’une pure passion pour les gâteaux. À travers cette petite affaire, Neha propose divers gâteaux pour toutes sortes d’occasions, allant des anniversaires aux mariages, en passant par les baby showers. «Je mets un point d’honneur à utiliser des ingrédients de haute qualité pour créer des gâteaux gourmets. Je propose aussi des cupcakes, des cheese-cakes, des cookies et des chocolats.»

Au départ, c’est pour ses proches et ses amis que la jeune femme commence à confectionner des desserts et des gâteaux. «À chaque fois qu’ils goûtaient ce que je préparais, je recevais beaucoup de compliments et mes amis m’encourageaient toujours à me lancer.» Surtout que Neha Katti, 32 ans, a fait un petit bout de chemin dans le domaine. Titulaire d’un diplôme en gestion hôtelière de l’American Hotel and Lodging Association et d’un diplôme de troisième cycle en gestion hôtelière et touristique de l’Oberoi Center of Learning and Development, elle a travaillé dans des hôtels de luxe en Inde tels que l’Oberoi Mumbai et le Taj Mahal Palace.

Ce passage dans des établissements aussi prestigieux a fait grandir en elle l’amour et la passion pour la cuisine. Une passion qu’elle nourrit depuis sa plus tendre enfance. «Je me souviens que petite, je regardais les émissions de cuisine en rêvant d’être un jour un chef.» Alors, lorsque le moment est venu de se lancer, la jeune femme n’a pas longtemps hésité et c’est un choix qu’elle ne regrette absolument pas. Son best-seller aujourd’hui, c’est le Red Velvet. «Les clients en redemandent toujours. Je m’inspire beaucoup des commentaires positifs pour créer de nouvelles choses. Tout est personnalisé et ils aiment ça.»

Neha, elle, ne compte pas s’arrêter là.