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Julien Clerc : «Avoir encore de l’inspiration pour inventer une mélodie, c’est de la chance»

Pieds nus, chemise, short, cocktail à la main, un grand sourire et… beaucoup d’humour. C’est ainsi que Julien Clerc s’est présenté, le mercredi 4 avril, dans le cadre magique de l’hôtel Trou Aux Biches, lors de la conférence de presse pour parler de son concert, dans le cadre de sa Tournée des 50 ans (deux pianos), prévu pour ce dimanche 8 avril. L’interprète de Ma préférence ou encore de Fais moi une place donne ainsi rendez-vous à ses fans à partir de 18 heures au Trianon Convention Centre. Les billets – à Rs 2 000 (VIP), Rs 1 600 (Cat 1), Rs 1 200 (Cat 2) et Rs 800 (Cat 3) – sont en vente chez Otayo et sur MonTicket.mu.

 

D’une scène à l’autre et une dizaine d’années après son dernier concert, Julien Clerc est impatient à l’idée de revoir le public mauricien afin de partager les mélodies qui retracent cette tournée pas comme les autres. «Cela se passe super bien. J’ai donc, selon les endroits où je chante, différentes formations musicales», explique le chanteur. «Après Maurice, on attaque les concerts en Hollande, en Belgique, au Maroc, entre autres. On est à quatre sur scène, deux pianos et un musicien additionnel, pour ce que je vais appeler la petite formation. Le tour de chant reste à peu près le même, avec une vingtaine de chansons qui sont les singles de ma vie. Puis, au milieu, il y a une proposition faite au public pour qu’il choisisse, sur une liste que je lui propose, quatre chansons. C’est assez amusant car cela nous permet de ne jamais faire le même concert et puis, il y a cette partie du milieu qui est le choix du public.»

 

«Le but de cette tournée, c’est de servir du répertoire. J’ai essayé d’inclure tous les singles.» Mais qui dit anniversaire, dit aussi bilan. Et à l’heure de faire le sien, il est beaucoup question de chance : «Ces derniers 20 ans sont faits de travail. J’ai un facteur chance parce que j’ai choisi ce métier alors que j’avais un petit peu plus de 20 ans. D’avoir pu remplir ma vie comme ça, avec cette chose que j’aime, je pense que c’est quand même une chance. C’est-à-dire que j’ai vécu de la musique, par la musique et pour la musique, et je pense que c’est une très grande chance d’avoir pu faire cela. Avoir encore de l’inspiration quand je me mets derrière mon piano pour inventer une mélodie, même si c’est du travail, c’est aussi de la chance. J’ai choisi quelque chose à 20 ans et le fait d’être encore là, d’avoir encore des gens qui m’écoutent, d’avoir encore des chansons qui passent à la radio, c’est une chance. Que peut rêver d’autre quelqu’un qui a choisi de faire ce métier ?»

 

Pour le voir sur scère, rendez-vous est donc donné pour aujourd’hui, à 18 heures, au Trianon Convention Centre.