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23 octobre 2020 02:59
Parlez-nous de votre première rencontre avec Jerry…
Elle était... musicale ! J’ai entendu son tube Paké Linz à la radio il y a trois ans ! Puis, sa femme Hannah étant mon amie, nous nous sommes rencontrés cette année et avons tout de suite «accroché» autour de valeurs fondamentales pour moi : le respect, ne pas fumer ni boire, travailler dur. Et cela nous a conduit à Really Want To Love comme première collaboration. Avec Jerry, nous tenons avant tout à rassembler et unir en ces temps difficiles, jamais à diviser : on appelle ça «l’esprit The Resistance».
Qu’est-ce qui vous a motivé à devenir son manager ?
Jerry, comme beaucoup de monde et d’artistes, est touché de plein fouet par la crise de la Covid-19. Il y a moins de travail, surtout à l’hôtel, et pour un artiste de son calibre, il est difficile de pouvoir chanter, écrire, composer, tourner et se produire seul... Sa compagne Hannah a fait un gros travail pour maintenir les choses. Puis, nous avons vite été dans le sens unique d’une triple collaboration : manager - produire - et jouir de nos deux notoriétés dans deux mondes bien différents ! Mais le mannequinat et la musique ont aussi des points communs : quand vous êtes «bon», ça finit par payer un jour ou l’autre ! Et comme j’ai de nombreux contacts aussi bien sur la scène locale que sur la scène internationale, on est partis sur une collaboration de trois ans !
Pourquoi le clip de cette chanson et pas une autre ?
Dans la main de Dieu… Je pense que comme Souffrans L’amour avec Alain Ramanisum, il y a quelques années, les choses sont arrivées comme ça... et Dieu fait bien les choses car ce sont deux chansons que j’adore... et le public aussi !
Quelles sont maintenant les nouvelles perspectives pour Jerry et le groupe ?
On enchaîne à un autre régime ! Cette fin d’année verra deux gros morceaux et leurs clips. Puis, on travaille sur la zone océan Indien aussi... Du lourd ! Côté live, des collaborations avec des acteurs locaux majeurs sont en train de se mettre en place ; on a une équipe énorme et pro, la discipline, c’est important, et Jerry N The Resistance a un tel répertoire que les choses sont faciles au final ! Les tournées, tant que les frontières sont fermées, ne sont pas possibles, alors on avance côté créativité pour étoffer encore notre package artistique.
Quels sont les autres projets pour Jerry N The Resistance ?
Là, c’est un prochain focus sur un gros, gros truc pour le mois prochain. Mais chut... faut rien dire (rires).
Y a-t-il d’autres artistes que vous comptez «manage» dans le futur ?
La structure que j’ai mise en place et mes contacts me permettront d’accueillir d’autres artistes connus ou pas encore et de leur proposer des choses. L’important, c’est d’avoir le «feeling», je suis un passionné et sans passion commune et respect pour moi, rien n’est possible.
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