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Predator : Badlands : le monstre et le robot

8 novembre 2025

On prend un chasseur et une jolie androïde et on les met sur une planète hostile. Bref, le nouveau Predator est de sortie, et ça va trancher !

Après... «Prey»

Les chasseurs extra-terrestres qu’on appelle les Yautjas ont à nouveau la cote. En tout cas, c'est un sacré parcours pour les Predators au cinéma, depuis le premier film avec Arnold Schwarzenegger (1987), le deuxième volet avec Danny Glover (1990), les plus oubliables Alien vs Predator et sa suite, le Predators avec Adrien Brody (2010) ou encore The Predator (2018) avec Thomas Janes, tout aussi oubliables.

Au même titre que la franchise Alien, malgré des hauts et des bas, la saga Predator est devenu un incontournable avec ses monstres aux dreadlocks, armés jusqu’aux dents (ou plutôt jusqu'aux crochets). En 2022, Disney, qui vient de racheter la Fox, met en chantier Prey, film qui revient vers la franchise, avec une série B disponible en streaming uniquement où un Predator livre bataille contre des Amérindiens. Le résultat dépasse les espérances, et Prey arrive à convaincre. Après une anthologie d’animation tout aussi sympa du nom de Killer of Killers, le réalisateur Dan Trachtenberg (10, Cloverfield Lane) revient avec un nouveau film Predator, et avec un plus gros budget, emmène la bagarre sur une planète lointaine, avec pour la première fois le personnage principal qui est un Predator.

Des monstres

Nous voici donc sur une planète où nous découvrons un jeune Predator, qui a un peu de mal à se faire accepter. Parce que chez les Predators, il faut faire ses preuves et tuer un adversaire d’un sacré niveau pour se faire accepter. Voici notre jeunot et sa tête d’abruti qui entreprend un voyage sur la planète, bien sûr très hostile, où il essaie de trouver le super ennemi. Et il ne sera pas seul !

Et une jolie 35

Car notre Predator va croiser sur sa route une androïde du nom de Thia, qui semble venir de la compagnie Weylan-Yutani, celle que l’on trouve dans les films Alien. Qu’importe, la robote et l’extra-terrestre devront se serrer les coudes (le robot parle notre langue alors que le Predator parle une autre langue) pour s’en sortir contre les nombreux monstres et autres dangers. En tout cas, notre robote est bien jolie mais un peu coupée en deux, interprétée par Elle Fanning, un visage connu que l’on a vu notamment dans Super 8, Neon Demon et le jeu vidéo Death Stranding 2.

Un peu plus propre et du spectacle

Les studios semblent avoir mis le paquet pour nous offrir une grosse série B avec de magnifiques plans panoramiques, avec aussi plein de gros effets spéciaux, ce qui pourrait trancher un peu avec le caractère plus violent des précédents films, beaucoup plus sanglants. En tout cas, on devrait en avoir pour notre argent avec ce Predator : Badlands.

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C’est l’histoire de quatre potes lycéens. Tout ce beau monde se retrouve lors de funérailles, et chacun découvre que la vie ne leur a pas fait de cadeaux depuis les années lycée. Pourront-ils s’en sortir grâce à leur amitié ? En tout cas, c’est bien parti pour une suite de situations rocambolesques dans cette tragi-comédie à la fois sociale et loufoque de et avec Jérôme Commandeur (Irréductible) qui donne la réplique à Vanessa Paradis et François Damien, notamment. Et si l’on rit pas mal avec l’humour parfois un peu grossier de l’ensemble, il se dégage aussi pas mal de tendresse de ces personnages un peu losers mais plutôt attachants. Bref, on rit, mais pas qu'avec cette bande de copains.

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