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10 janvier 2015 18:26
Il ne pouvait en être autrement. Puisque, pour lui, c’est la suite logique des choses. Comme une évidence. Bref, une histoire qui était écrite d’avance. Même si la musique fait partie intégrante de la vie de Jean-Michel Coret depuis toujours, c’est maintenant, à l’aube de ses 45 ans, que ce Mauricien, natif de Curepipe et qui vit en France depuis l’âge de 12 ans, s’apprête à ajouter une nouvelle page à son histoire.
Jusqu’à présent, il a tout connu. Les grandes scènes, les mégas shows, les grandes salles de concerts, les foules en délire et les superstars… Le musicien et bassiste de formation, qui, depuis très jeune, a décidé de faire de sa passion son métier, a eu l’occasion, au fil de sa carrière, de collaborer avec bien des artistes. Entre autres, et dans le désordre, Jean-Michel cite Axel Red, Cyndi Lauper, Taio Cruz, Katie Melua, Amel Bent, La Compagnie Créole, Christophe Maé ou encore Eddy Mitchell, qui lui ont permis d’explorer des univers différents et de vivre des moments magiques.
Depuis des années, c’est son quotidien : les tournées et autres spectacles aux côtés des plus grands. «Je viens de finir une tournée mondiale avec les Babylon Circus, un groupe de ska et de rock festif. Avant, j’étais en tournée avec la chanteuse Asa, mais aussi avec plein d’autres artistes en France», confie Jean-Michel qui a étudié dans une école de musique dans son pays d’adoption.
Chaque concert est, dit-il, un moment riche en émotions et en souvenirs. Il y a quelques années encore, il nous racontait comment il avait vécu intensément sa rencontre avec Jennifer Lopez. Mais depuis quelques temps, entre deux shows, c’est à un autre projet que Jean-Michel dévoue son temps : préparer un single qui est sorti le 1er janvier sur les plates-formes numériques : «C’est un projet avec ma copine Céline Radlo et on travaille dessus depuis une année. Le premier single est déjà sorti et se veut être un nouveau style de séga que j’ai appelé “Nu sega”.»
Récemment en vacances dans son pays natal, ce papa de trois enfants, qui dit aimer toutes les musiques, espère vraiment contribuer à populariser davantage le séga en France : «C’est un mélange de séga et de dance. Nu sega = new séga. Le projet est de faire en sorte que le séga passe à la radio en France. Le morceau a été enregistré dans mon studio, Ministud, accompagné du groupe New Sega Generation, et a été mixé par Didier Thery, ingénieur de son de Shaka Ponk au studio Teriferic.»
C’est pour lui une étape importante de sa carrière, une façon de vivre autrement sa passion et de se laisser porter par sa musique.
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